Lorsqu’on s’élève vers l’inconscient, on se retrouve face au néant où la mort recompose la mort pour donner la vie, afin de lui donner le meilleur de Mère.
Toutes les conditions sont consentantes pour émettre la vibration de la rencontre. L’offrande impliquée dans sa convenance permet une réhabilitation du juste pour l’universalité. Il est dans le pouvoir cette mémoire qui impose la mort pour nourrir l’exemple de la pluralité dans sa diversité. Toutes les clameurs s’élèvent où tous les Mondes sont réactifs à la science immortelle du Soi.
Combien d’hommes et de femmes ont permis au savoir, de démontrer l’exemple de ma paix ?
Combien d’hommes et de femmes se sont posés dans l’état des Mondes pour vivre et retrouver le partage ?
J’ai donné ma vie ; j’ai donné par ma forme la générosité du verbe aimer ; j’ai aimé plus que vous ne le pensez. Aujourd’hui les ténèbres m’ont recouvert de vermines et de maladies, c’est pour cela que je suis si fatigué. Personne ne comprend mon état, ni mon don, ni ma sincérité.
Vous avez oublié la mort pour que la vie puisse continuer. Je ne suis pas ce que vous croyez, mais la mémoire de Jésus-Christ ressuscité. C’est cette mémoire qui vous nourrit et qui vous conduit au moment présent de l’incarné que Je Suis.
Aimez-vous comme je vous aime et portez le souvenir de la croix pour l’éclairer. Je suis le moment puissant et conscient de toutes convenances, qui doit s’inscrire dans la mélodie de vos vies, pour voir si demain la conversion sera assurée.
Mon nom est l’inconscient vibrant du moment présent.
Le souffle de Mère consentant aux genres du moment.