La voie
L’inconscient sélectif de la mémoire s’est posé dans une convenance de pouvoir, où l’origine livrée a été modifiée. Sur toute la surface terrestre une force imposée par le dessein de l’être dominant a engendrée une mémoire de maladies, d’où l’existence d’un mouvement extrêmement puissant. L’emprise géologique de l’inconscient a conduit tous les êtres vivants à la destruction. Nous remontons à l’origine qui a été livrée au spectre du divisible, consentant à la mort (mort de l’unité) pour définir un état qui n’est plus un monde évident mais une illusion.
L’impression juste des mondes émerge d’une auto reconstruction par une mort incurvée dans le moment. C’est là que l’existence de l’incarnation s’effectue, une mort dans une quantité de petites morts de la semence vivante et permanente. Nous consentons à la mémoire juste et impliquée aimant la mort dans son état naturel. C’est pourquoi nous revenons au divisible exponentiel pour déterminer une moisson de dons.
Les mémoires sont divisibles, le savoir l’est aussi. Les inconscients brûlants prouvant les desseins sages des mouvements ont percutés une semence conditionnée par l’impression maladive et a fait basculer le juste dans un pouvoir puissant et faux en même temps. L’homme a créé par les interférences du moment un état de promiscuité qu’il justifie par une moisson de pouvoir intéressé. Deux mondes saisissant qui ne se rencontrent jamais dans la mort. Avons-nous été clair à se sujet ?

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