L’homme a une pensée néfaste envers la vie.
L’abondance de sa composition cellulaire a été considérablement maltraitée et l’origine a été portée vers des manifestations imperméables au Don. Je considère que le pouvoir de sa destruction est au paroxysme de l’horreur. C’est ainsi que la mort revient donner le juste pour une moisson consciente et réelle. L’instant présent est l’exemple d’un état puissant pour tout avènement consentant au savoir, qui relie la combustion organique à l’origine du feu du volcan. C’est dans ce divisible parfait que le souvenir génétique s’est placé pour soumettre la mort fusionnelle à l’éclosion amoureuse du Don; absolu parfait du souffle mémoire régénérant du Savoir.
Si l’essence du savoir est amoureuse de la fusion réelle du don, la conscience du Je Suis est l’inconditionnel d’une moisson régulière et juste par la mort impliquée d’une réalité permanente instantanée, prévoyant l’éternité du  »Moi livré ». L’offrande est une moisson renaissante dans un monde de lumière où toute mémoire est le dessein d’une réalité imposée par la loi de l’unité amoureuse de l’instant présent.
Prendre conscience de l’essence mariale du Moi révélé dans la science du  »Je Suis Dieu », c’est se permettre le pouvoir consentant d’une finalité juste dans un recommencement où l’ivresse du Je Suis n’est plus en détresse mais en lumière, amour et paix.
Christ vivant parmi les vivants.

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