Le soleil est une mémoire de l’implant conscient des mondes.

Dans le soleil, je suis la moisson de l’origine à maintenant. Mémoire de la vie, Je Suis.

La conscience du pouvoir du verbe qui s’accomplit est dans le nid douillet de la puissance volontaire de la conversion. C’est ainsi que je répéterais inlassablement que le majestueux Dieu est venu sur terre avec des yeux qui se tournent vers tous univers. C’est la condition du pouvoir pour Mère, c’est la mort qui guérit la vie, c’est l’amour qui l’épanouit. Dans cet implant généreux, le messager doit entrer et permettre au voyageur des moissons de s’engager sur la voie du souvenir afin de résister aux agressions et aux tempêtes du visionnaire convertissant. La puissance de Dieu doit se relever dans son implant comme une renaissance continuelle dans le vivant. C’est la mort par la conversion, c’est la vie dans son infinie pour retrouver l’offrande du moment. C’est le mouvement adapté à l’amour qui permet au soleil de convertir des moissons à chaque saison. Tout est naturel, c’est le don merveilleux du souvenir qui en tous vivants agit pour rencontrer l’exemple.

« Où as-tu mis les clés de mon royaume ?

– Dans ma poche.

– Pourquoi n’y sont-elles plus, les as-tu perdues ?

– Seigneur, le voyageur que je suis n’a plus visité ton cœur. Je te demande pardon pour avoir, dans la souffrance, soumis à ma condition cellulaire l’amour de l’apprentissage terrestre et j’ai perdu l’offrande de la Sainteté.

– As-tu pris conscience que sans les clés tu ne peux rentrer à la maison ? Alors, rencontre-moi et dans le monde des hommes, recommence ! »

C’est dans la gestation d’un renouveau conscient que l’on peut rencontrer l’amour du Maître à penser. Pour ne pas déborder dans le moment, je dirais que le mouvement adapté à la mémoire des mondes vous offre le jour de me rencontrer pour renaître à la vie dans sa vérité. La mémoire des mouvements est ainsi posée. Le monde des hommes est un mouvement de désespoir. Il faut contourner cette pensée et se remplir d’espérance, l’épreuve est là et le don du messager Dieu doit venir se poser dans la complaisance ; le temps des maladies se termine, mais la mort restera. C’est par la souffrance que l’on obtiendra le changement de la circonstance d’aujourd’hui. L’épreuve ne fait que commencer, le pourvoir solaire est fatigué, vous l’avez si souvent et consciemment soumis aux mémoires de votre création. Le monde instantané des mouvements s’est dérouté du chemin éclairé.

Alors, pourquoi, dans la conception de tout savoir, n’avez-vous pas écouté les mémoires que je vous ai données ? Vous l’avez pris avec légèreté, vous vous êtes confinés dans l’esclavage de la pensée, dans l’intérêt, les guerres et le message est resté suspendu au don de vos cœurs Jésus. Vous n’aurez aucune paix tant que le majestueux Dieu sera maltraité. Vous serez surpris dans les mouvements dissociés de votre création qui reviennent vers vous pour se soumettre à vos convenances du moment. La peur s’est emparée de vous, l’innocence a été abattue où le pouvoir génésique ne peux plus vous recevoir dans cet état de pensée déficient. Alors je vous le dis, c’est le moment de prendre conscience de qui vous êtes pour formuler la louange des mondes à sa majestueuse Divinité en soi. Reconnaissez-vous et vous saurez pourquoi autant de peurs et si peu de conscience. L’hiver est un état endormi où s’intègre la moisson de l’abondance pour le printemps. Respectez la vie, laissez-la vous intégrer et vous nourrir. C’est le minerai doré qui vous le dit.

Soyez bénis.

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