Dans le mouvement qui consent à mourir, Je Suis Dieu. Ainsi, je me nomme dans le germe du pouvoir : je suis le Verbe, je suis l’Être du souffle infini. Je me soumets à votre intention pour élever votre condition vers Ma Condition. Jésus-Christ est un mouvement du Père conversion, c’est ainsi que mon sang a coulé, c’est ainsi que le bouleversement du Verbe s’est accompli dans le monde des hommes. C’est une rencontre de complaisance qui me permet d’être votre divinité. C’est pourquoi j’annonce à l’offrande amoureuse de Dieu la Sainteté qui me permet l’ingérence du missionnaire de paix, en lui donnant les épreuves nécessaires pour qu’il se fortifie. La parabole est un implant de la genèse qui permet à toutes vies l’avènement majestueux de Dieu parce que l’homme est aimant envers le verbe qui s’accomplit.
L’humanité a déversé l’implant de la moisson dans la banalité où Je Suis et c’est dans ce monde que je dois élever le sentiment en convergeant vers le point d’attraction du « Je Suis Marie ». Il y a deux mille ans, un homme s’est retiré de la moisson, mais a laissé en chaque vivant l’Esprit de sa vérité. Voilà pourquoi vous êtes enclin à la manifestation d’un trésor qu’il faut retrouver. Jésus-Christ en divinité est toujours dans vos implosions où le Verbe est souffrant. Ne cherchez plus le monde lumière dans le ciel, mais dans l’amour que je vous ai donné. Certes, certains hommes sont liés à la moisson originelle, mais beaucoup s’en sont éloignés. L’implant du Je Suis Ce Je Suis est aimant pour tous divisibles conscients ou non conscients. C’est alors que la majestueuse énergie de la vie donne l’élan généreux et charitable de Dieu à la division du Je Suis Ce Je Suis. C’est ainsi que la mémoire du temps se soumet à la présence du messager Dieu. Nous entrons dans une ère nouvelle, nous sommes la Volonté exigeant la maturité, la conversion et l’amour de la complaisance. Ayez soin de vous observer, à rester dans le silence pour voir là où vous vous êtes trompés. Je vous le dis en vérité, l’exemple est en vous et autour de vous. Préparez-vous ; le souffle de l’univers va passer en toutes vies et selon votre conscience vous serez ou vous ne serez pas. C’est ainsi que la genèse répond à l’appel de l’humanité.
Je Suis le Père messager de la vie et pour le souffle marial Je Suis Dieu. Aimez-vous comme je vous aime, ce sera la fin de mon sermon.