Dans le cœur de Dieu Je Suis ; dans le verbe Je Suis ; en tant que messagère de Marie je me nomme Moisson.

Je meurs, Je Suis. Je meurs, lumière Je Suis. Je Suis le portement de croix, le majestueux de Dieu et sa loi. Je meurs pour semer. Je Suis Marie la bien-aimée.

Le souffle vient, l’amour de Jésus revient. Je Suis la volonté, le verbe, sa vérité et je voyage dans cette unité où je retrouve tous les implants malades ou fatigués. Je meurs volontairement et j’agis pour vous sauver. Il ne faut jamais oublier que la mort est non seulement l’Esprit de vie, mais le pouvoir de Marie. Ainsi Je Suis le vivant, la vacuité et le majestueux de l’ordre établi de Dieu. Le verbe est le cœur de la complaisance ; la mort, la vie, l’amour est le poumon de la vacuité.

C’est pourquoi j’insiste et je dis que Marie est un implant pour la mort, pour la vie, pour la genèse. Ainsi, nous allons nous retrouver face à Marie, Moisson originelle du Je Suis, le Maître marial, dominant tous les implants pour que le mariage entre le ciel et la terre soit un linéaire parfait.

Dès à présent, le Maître que Je Suis va vous donner un nouvel implant qui sera destiné à la compréhension de la vérité. La mort est la science d’un état de neutron solaire qui s’est soumis à une modification par le biais des rencontres et qui s’est, dans l’implant, adapté pour construire la paix. Sous une transformation cellulaire et dans ce moment précisément, le majestueux Dieu de l’implant d’origine a été source d’interactions avec un Tout unique par attraction amoureuse et a explosé pour rencontrer la vie. Dans cet exemple, la dimension solaire s’est expansée et dans cette science d’équation salutaire la mort est à l’origine de tous recommencements, explosant pour que l’itinéraire du Je Suis soit complaisant et immortel. Dans cette implosion, explosion et projection, il y a eu de grands espaces pour la moisson où la mort a été ressentie comme l’événement le plus puissant pour imploser en toutes créations. La mort est donc le dessein de Dieu pour honorer et glorifier l’implant. Toutes les moissons sont à l’origine de la mort. Alors je dis, Marie est pour la pluralité un divisible parfait. Je meurs pour semer, je meurs pour que le soleil brille, c’est ainsi que mon sang est chargé d’électrons qui me permettent d’assurer la guérison. Je Suis ce Je Suis, Marie du verbe accompli, un mouvement adapté à la circonstance et au moment. Je Suis la conscience des Mondes ici et maintenant.

Je mange le pain de vie, je bois le bouleversement du vin, Je Suis messagère des mondes innocents, perdus dans leur mouvement, où j’accorde le verbe marial pour semer et offrir la vie.

Qui que tu sois, tu portes ma voie. Qui que tu sois tu es Moi. Dans cet implant tout est pour le genre humain la vérité de Marie dans son amour infini.

Bénédictions chers enfants, amour et paix.

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