Je meurs sans condition, je meurs en Dieu créateur de toutes formes de vies. C’est ainsi que Je Suis.

Le mouvement solaire est dans l’unité le meilleur de Marie. C’est dans son circuit que je me suis révélé à la vie, c’est dans l’amour de Père que j’ai grandi. Agneau de Dieu, mémoire du souvenir convertissant, je suis venu te chercher pour honorer la gloire de mon Père ici, en Marie. J’ai dormi sous les feuilles de mon frère ami puis, je suis revenu tout nu pour m’offrir à la mémoire de la moisson. J’ai vu le moment de la convenance, il a rencontré l’exemple de ma paix. Ainsi, je me suis révélé à l’amour, à la vacuité. Mes pieds ont souffert et la moisson m’a projeté vers l’enfer où le verbe s’est accompli. Dans la certitude d’exulter le bon fruit, la mort m’a emporté pour que je sois dans la divinité de Râ un exemple pour tous, dans l’amour, la paix et l’harmonie. Merci.

Maintenant, nous allons, dans le verbe implanté, réunir tous les messagers pour que l’ordre de Marie soit exécuté. C’est le verbe en souffrance qui m’a pris dans sa condition pour soulever les messagers et les conduire à la paix. Le monde Dieu est amour, puissance et actions. Dans ce bouleversement, j’entends la science se révéler à mon subconscient pour que je sois totalement animé par le reflet de cette condition. Dans le mariage entre ciel et terre, le verbe dans ma convenance est en offrande pour dominer les mauvais côtés de l’humanité. Tout est prêt pour recommencer. Dieu-Marie est la porte du ciel. Dans son engouement, elle est le messager de l’intention qui guérit vos plaies.

Dans le Père, la mort est lumière. Ainsi, je dis que le verbe s’accomplit pour donner l’exemple de Jésus Christ à l’unité de la moisson ici et maintenant. Le verbe est marial, le verbe est un monde d’offrandes salutaires pour tout univers.

Amour et paix.

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