Je meurs, je suis l’offrande du souvenir.

Dans le cœur de mon Père, une mémoire s’est posée dans le juste du Sacré. Jésus dans le ventre de Mère est l’Esprit vivant de tout univers. L’exemple est une offrande amoureuse et mariale qui permet à la moisson de se régénérer, je suis donc le fruit de la vie, l’exemple et le majestueux de Dieu. Il n’y a qu’une loi : le pouvoir. Il n’y a qu’une synthèse : la conscience du juste. Dans cette conscience, la puissance et la fusion sont l’amour sans condition. L’unité est la rencontre de ce Tout qui permet à la mort de se montrer dans sa régularité pour offrir le véritable sens de la vie et c’est dans mon sang que le monde est le souvenir de la parabole. C’est pourquoi j’insiste sur la loi de la mort pour la vie, afin de recréer un souvenir conscient : l’évidence.

Tout est interpénétrant, tout est volonté dans le mouvement. La conscience de l’amour est dans le divisible de la moisson depuis tous temps, seul l’homme a rétracté ce sentiment. Si la mort l’effraie, c’est dans l’inconscient qu’elle s’est placée où tout peut être détourné à tout instant. La mort est le souvenir qui permet la répétition du Sacré pour servir la vie. C’est dans l’offrande vers le Maître à penser que la mort est mon Esprit. Je me nomme tout simplement Dieu. C’est la loi universelle de ces morts qui me permet d’exécuter le juste et bon.

Souvenez-vous, Je Suis la parabole et l’équité. Je ne suis pas conscient de l’implosion parce que je ne me sens pas concerné par vos pensées. La moisson dans la complaisance est dans un souffle léger une mémoire accueillante, une responsabilité, une conversion. Ainsi, Je Suis le linéaire de la moisson qui consent à recommencer dans une nouvelle vibration.

Que l’amour soit votre moisson et la mort votre amie. Bénédictions.
Donne-moi le bouleversement du Soi pour que je puisse pénétrer en toi.

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