L’avènement de Dieu est arrivé à la source volontaire de Mé.

Dans le cœur de cette vérité, Jésus innocent est né. Dans le linéaire, il s’est placé ; dans la vérité, il s’est élevé. Il a beaucoup aimé et dans la passion l’a démontré. De tout son Être la vibration s’est élevée et dans le chant de la complaisance l’amour s’est réfléchi dans la monade du principe premier qui est la Volonté. Dieu est volontaire pour tout univers et en chaque univers. Il a semé, et guidé par le linceul premier il s’est manifesté jusque dans le cœur de la trinité où son courage dans la moisson en Esprit de paix s’est révélé à la crucifixion. C’est ainsi que la mort a rétabli le juste amoureux des mondes vivants, sur terre comme au ciel. Alors, un empire s’est montré. Sous la flagellation le Maître a, dans la complaisance, semé son amour et sa paix. C’était un Être de bonté, de charité, pour le majestueux souvenir. Il dit tout naturellement que la moisson est majestueuse et qu’il faut élever son sang au dehors du Maintenant : « Mon royaume n’est pas celui-ci ».

Quand l’espoir renaît, le vénérable explose ; quand le juste est posé, la mémoire est l’univers qui prie. Alors, pour servir la loi il faut se soumettre à la condition de la mort pour que la vie se renouvelle en dehors de la pensée dans la source de l’unité. Dieu est grand et infiniment bon, il est charitable, généreux et permet à sa complaisance de servir la loi de Dieu. Lorsque les clous se sont enfoncés, la moisson a pleuré. L’indignation et l’incompréhension, voir même de la révolte se sont placées. Je me suis élevé conscient que l’homme doit changer et ne plus rencontrer les excès, qui dans mon Tout souffrant n’a été que la vérité de la mort pour la vie dans l’innocence de l’amour. Si j’ai les mains blessées, les pieds recouverts de plaies, c’est pour vous démontrer que la moisson doit être adombrer par le juste et bon afin de refléter la ressemblance de Dieu sur tout ce qui Est, ici et maintenant. Pour dominer les actes de l’incohérence et de l’ignorance, il faut laver la moisson par les actes des éléments et des conditions de la science. Je soulèverai l’injustice, je guérirai les plaies du ventre de Mère, j’élèverai votre sentiment pour fortifier votre foi et je vous guiderai dans l’impermanence des monades amoureuses de Dieu. C’est dans l’Esprit de Marie que je vais me montrer pour honorer la parabole du pouvoir et je vous le dis en vérité, c’est la moisson qui dans le ventre de Mère permet la vibration de mon sang pour aimer et servir sans condition. Je voyage dans la mort, je voyage dans la vie et je dis : le linéaire est ma patrie.

Avec les bénédictions du souvenir, je consens à Dieu, en dons, en formant de grands cercles entre le ciel et la terre afin que vous ne tombiez plus dans le néant, la guerre, la destruction, … Le bouleversement est un passage qui dans le linéaire œuvre et accueille le souvenir en perdition. Beaucoup d’amour, beaucoup de joie pour vous rencontrer.

– Je suis Marie, la douce, la bien-aimée. Je suis le mouvement de la paix, la mémoire du passé. Je suis dans le minerai doré et je cueille le bon fruit avec légèreté. Je me soumets à la volonté du majestueux Dieu qui dans la mort a rejoint mes cieux.
– Comme tu es jolie Marie, ton visage est illuminé, ton ventre est amoureux où la cour des puissants est compassion.
– Dans l’implosion j’ai quitté le néant pour explorer d’autres dimensions. Dans cet état la méditation se soumet à l’action et dans la conversion je vous le dis : Je suis Marie, Mère de tout infini. J’honore la vie et je me soumets à la complaisance des réjouissances qui me permet dans la volonté de savourer les bénédictions du cœur sacré. En Tout, Je Suis. En vous, Je Suis et dans cette conscience la monade de vérité est dans l’offrande de tout instant pour servir la loi du don. Je Suis Marie, bénie entre toutes les femmes pour que l’amour du Messie puisse rencontrer la volonté et le juste aimant pour que le soleil brille en Mère consciente du volume, aimante dans la lune et présente dans le linéaire de votre univers. Je suis donc la manifestation de l’Être conscient des monades de Mère, co-créant la vérité du juste et bon avec la fusion d’exception posée dans l’instant.
– Merci à Marie de m’avoir enrichi dans le souvenir.
– Je vous aime tant chers enfants, prenez conscience de l’acte et de la dimension que vous lui donnez. Je suis Marie du linéaire parfait.

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