Le Maître est le souvenir ; le souvenir de la mort pour la vie.

Le Maître s’accomplit et accomplit. Le Maître donne et démontre la vie. Le Maître du souvenir est l’insondable Dieu.

Qu’appelle-t-on la mort ? Qu’appelle-t-on la vie ? Je m’exprime à ce sujet.
Dans le cœur majestueux de l’implosion, la mort est le passage d’un bouleversement cellulaire qui reconnaît l’empathie pour que le soleil brille dans le cœur de l’humanité et dans le monde impliqué dans l’exécution de cette vérité. La mort est l’état complaisant de l’état qui bourgeonne avant de fleurir, c’est en effet dans le cœur même du bouleversement, de la mort, de la transformation, que ce Tout refleurit au printemps. Dans cette constatation je dis que l’état cellulaire est l’initiation des quatre saisons par le biais des rencontres.

Ainsi tout est clair. Puisque rien n’est figé, le Tout recommence dans son éternité, c’est le processus vital de la vérité dans son unité. Il n’y a aucun engagement envers la vie, ni envers la mort, puisque ce processus est éternel. Aucune peur, aucune séparation, aucune réalité sans le processus de la mort pour la vie. Je Suis l’amour qui s’expanse dans la synthèse des dons que ce mouvement de mort-vie démontre constamment.

Avec la clarté du juste, le monde du majestueux est votre état, quel que soit le chemin de vos destinées. Jésus Christ est l’homme du passé, Christ est l’Esprit de Sainteté. Ainsi, nous volons vers d’autres horizons, vers la conscience de son évolution. Dieu Mé et Dieu Père ne sont qu’un seul Esprit qui dans la mémoire s’est enrichi pour démontrer l’exemple des moisson où Mé en offrande permet la vie pour toutes créations. Ainsi, le Père est dans le Fils comme le Fils est dans le Père.

Nous sommes le linéaire des moissons, le linéaire du messager conscient, amoureux de Dieu. Avec les bénédictions du saint Nom, nous sommes Christ de la moisson.

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