Je suis dans la mort le mouvement adapté pour enrichir votre vérité. Je suis Mère dans l’intention de la rencontre, mais aussi je suis fils de la Moisson. Dans le moment, j’inspire, j’implose pour le mouvement adapté de la vie enrichissante de l’Être. Mon inspiration est coupée et le divisible de mon sang n’est plus activé comme il le faudrait. C’est pour cela que dans la maladie vous vous soumettez. Vous avez oublié que Jésus Christ vous a révélé à la lignée des Dieux vivants, sages et aimants. Le monde de Mère est une action de grâce infinie où tout se renouvelle par le soleil. C’est ici que nous insistons sur le mouvement Dieu qui crée, non seulement la mort pour le messager, mais aussi sa vérité.
Si tu veux que ton attenant soit un juste aimant, une composition généreuse, tu ne dois plus désespérer, mais accueillir le bon fruit majestueux, amoureux de la genèse, qui s’offre au Maître convertissant. Tu ne dois pas douter de ton pouvoir, mais servir pour l’avenir. Tu as beaucoup de moissons qui n’ont pas été fertiles parce que tu t’es condamné à ne plus être utile. La convergence des monades vers l’Esprit de ma paix est dans ton cœur profond, bloquée par tes pensées. Si tu continues à ignorer le juste, alors, tu verras le juste s’appliquer en toi où ton Tout réagira. L’implosion te démontre que le Soi lumière est généreux et sans frontière, quel que soit le moyen qui s’imposera. Si ton Tout est vivant, si ton amour est brûlant, alors, démontre-moi dans le mérite ta moisson pour que je puisse entrer dedans. Ton esprit te conduit à la destruction. Insatisfait, il est dans les excès et si ton humilité est écrasée par ce poids de formes pensées, tu ne peux faire naître que l’orgueil et l’arrogance. Si la simplicité n’est pas montrée, le soleil ne peut se poser. Dans la complaisance, nous sommes des offrandes, des mouvements adaptés à la circonstance. Soyez lumière et paix, bénissez ce que vous mangez et prenez le temps de remercier, car cette mémoire offre à la mort l’élan généreux de la vie qui reconnaît mon Esprit comme l’exemple infini.
Nous vous aimons.