Dans tous les mondes je me suis posé ; dans tous les mouvements je me suis placé ; dans l’amour j’ai donné.

Le moment est arrivé de désigner la moisson comme le souvenir démultiplié de l’Être. Le moment est la réalité révélée dans le cœur de Mère, qui implose en toute immensité pour rencontrer l’offrande des mondes. C’est dans ces réalisations que le Maître à penser doit, dans la vérité, s’imposer. Dieu est ton Savoir qui doit semer en toutes convenances la maîtrise du Soi. Si le soleil brille c’est pour t’éclairer. S’il te soumet l’amour c’est pour t’élever. Pour ta composition cellulaire nous dirons que c’est ton Père. Dieu est renaissant, permanent. Dieu est Mère du divisible. En croisant l’insondable elle peut, dans les monades, agir pour que la lumière reflète son intention. Dans la moisson, le monde éclairé est assailli par le mépris et par l’amour, Mère est soumise aux différences dans l’irrespect du Tout, elle souffre.

La connaissance est le souvenir et dans la Nouvelle Alliance elle s’offre au Moment. Ainsi, ton Tout est Mère dans sa manifestation régulière qui ne pose aucun regard de jugement, mais de compassion. C’est ainsi que l’amour, dans l’empathie, est ta réalité, mais oubliée. Je Suis le divisible unique et la moisson est le cœur des mouvements associés à la genèse dans son éclosion, son implosion et sa renaissance. Ainsi, je vous délivre en Dieu généreux, en Marie, en offrandes et en dons. Je suis particulièrement touché lorsque la veine de la moisson est en pensée généreuse que je qualifierais de vérité. C’est pour cela que dans le cœur de l’homme je cherche à y entrer pour renouveler sa totalité et le reconduire au point du sacrifice pour dessiner ma science aimante.

Mère est un soleil qui brille en tout vivant qui, dans la souffrance, se soumet à vos intentions. Bénédictions.

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