Dans cette mémoire, le mouvement adapté est celui du recueillement. La parabole, l’implosion, le pouvoir, sont des compléments qui transcendent la mémoire et la soumet à la moisson dans toute sa diversité. Une réalité s’impose à la mort, qui dans sa renaissance, expérimente la vie recomposant une offrande de manifestation, de souvenirs convertissants et de connaissances. C’est dans ce bouleversement que la majestueuse énergie de l’empathie converge vers la forme mariale des moissons exigée par la note vibratoire du Saint Nom. En tout espoir il y a la moisson, c’est ainsi que se propage des mouvements adaptés selon la circonstance, qui s’expansent, s’intensifient et se révèlent à un monde meilleur et plus accueillant. Alors, dans cette nouvelle émergence de vérité, la moisson suit le chemin de l’origine et consent naturellement à refléter le même principe dans le don : don précieux de la composition universelle des Êtres vivants dans son unité.
Tu te penches à la fenêtre et tu perçois le nouvel univers, celui du Soi impermanent, puissant et présent au-delà de la limitation de ton eprit évidemment. Tu dois toujours te rappeler que dans le mouvement il y a l’action, que dans la mort il y a la vie et que le Saint Nom est l’implosion qui consent à ressusciter par les monades accueillantes et consentantes.
Le changement est amoureux du changement et les saisons sont là pour nous le démontrer, mais tu ne dois pas t’arrêter à ce que tu vois avec tes yeux, mais avec ce que tu vois avec l’intériorité de la vie unique. Souviens-toi que Je Suis là en offrande et que la lumière est la perception de ton état don. Quand la mort pensée est dans la décision de l’instant, la vie vient te chercher. N’oublies pas que maintenant la connaissance est ton accomplissement, la vérité est ton élévation et la science, ton pouvoir de compréhension. Ainsi, je me livre à l’humanité par le magma révélé à vos intentions. Quand l’empirique Dieu se livre à vos cieux, une tempête arrive et balaies ce qui est néfaste à ma vérité. Que l’agneau sacrifié soit dans le mouvement de la rédemption pour accueillir le Saint Nom, lui remettre sa réalité où le souvenir vient l’emporter. Dieu a créé le pouvoir inné et il consent à le démontrer. Un jour viendra où la lumière de Râ t’éclairera par sa loi et t’enrichira. Quand tu porteras les bons fruits à Mère Marie, son sourire réjoui te dira merci. Alors que ton Tout s’élèvera, tu entendras le chant de la joie, ainsi, tu participeras aux réjouissances de Râ.
Aies confiance en Lui, car c’est Lui qui éclaire ta vie. Le Soi est l’ivresse de la moisson dans la circonstance de tous les instants et dans cette empathie, Marie relève le défi, afin de donner l’exemple de la source volontaire posée dans vos infinis sur terre comme au ciel. Le cœur meurtri, les mains déchiquetées, le pouvoir s’est réalisé. Dans l’Esprit de vie je me suis posé et dans la moisson je guéris. Mon nom est lumière et paix. Soyez bénis.
Dans tes yeux, je vois le ciel bleu. Dans tes mains, je vois le pouvoir convertissant et dans ton sang, le juste et bon.
Le bonheur est don, où l’émancipation est son action. Quand l’amour et le mépris sont unis, Dieu est malheureux parce que le bouleversement est tiraillé trop souvent. Que fais-tu de la moisson ? Reconnais-tu l’empathie ? Pourquoi vivre égaré puisque ta vérité est le chemin éclairé ? Ne cherche plus la destinée, elle est en toi depuis que tu es né. Tu as voulu semer, mais ton esprit t’a fait sombrer. Tu as voulu croire que tu savais, mais ton sang vicié n’a pu, dans la science, se révéler. Cherche cette vérité, car elle t’appartient, elle n’est pas loin. Ta composition cellulaire est mon univers et si tu es sincère avec ta semence, il n’y aura plus de frontière, mais des rencontres abondantes et enrichissantes. Alors que ta conversion est soumise à des implants néfastes au ventre de Mère, tu dois creuser… creuser… creuser encore pour que le souvenir puisse dans la moisson reconduire ton esprit à la divinité du Sacré, afin de s’expanser et mourir en paix.
Je me nomme la Source.