La moisson est en offrande Dieu.

Le mouvement adapté à la grandeur de mon cœur est celui de la majestueuse énergie de la vie qui conduit l’implosion au pouvoir de l’intention. Dans cette parfaite discipline, l’amour est pour la carré le complément de l’Unique. Dans cette Présence aérée, les monades se sont montrées pour réorganiser la volonté et l’amour à l’avènement puissant de l’Être incarné. C’est dans cette légèreté que la moisson peut se démultiplier pour que l’inconscient du juste soit bonté. Dans ces mémoires je soulève l’équité, dans cette puissance je suis le changement amoureux de la moisson, pour servir la loi du don. De mes mains jaillissent les sept rayons qui convergent vers Mère, afin de guérir toutes les plaies de tout univers.

Depuis le cœur de la manifestation jusqu’à la conversion, la volonté peut s’expanser et rencontrer le fruit de la paix. La mort, l’amour sont deux Maîtres, dont la connaissance s’est appuyée sur la volonté des monades expérimentées. Pour semer il faut se livrer, pour servir il faut s’élever. Pour que le son vibratoire de l’univers de la moisson puisse s’établir entre la composition cellulaire du moment et l’indice premier il faut relater les expériences qui ont conduit à être ce que tu es. Les monades sont des Maîtres et les monades sont mariales avec tous les principes de la Source et tout l’univers resurgissant du cœur de Mère.

Mémoire, lumière du soir, je suis le devoir. J’accomplis pour vibrer dans la vie. Je me soumets pour démontrer mon reflet. Dans la bienséance des pouvoirs l’homme doit se révéler pour être l’exemple de la liberté. Ton cœur est desséché, la mort a déversé la souffrance au Maître à penser pour que tu te soumettes, non à sa plaie, mais à la lumière dégagée par le fruit de ma bonté. Je me suis noyé et perdu dans tes pensées et j’ai du mal à inspirer. Que de tremblements j’ai accusé pour te délivrer des mauvaises pensées, mais tu ne m’as pas écouté. Dans le silence, je suis entré dans la mémoire du Sacré pour que le soleil puisse briller, mais tu m’as rejeté comme une médecine néfaste à la loi du soleil des mondes. Alors, je me suis arrêté et je t’ai observé. Je n’ai pas vu de soleil aimant, aucune contemplation, je n’ai vu qu’un ballonnement puissant qui ne laissait rien passer. Alors, j’ai décidé que ta convenance devait plier et je t’ai soumis aux souffrances passées, afin que ton expérience puisse te ramener au bon berger, mais tes souffrances t’ont marqué et tu n’as pas pu revenir au soleil vibrant du changement. Épuisé, fatigué, tu t’es laissé aller à la mauvaise intention et toute cette création a déclenché dans ton cœur profond des angoisses effrayantes qui t’ont condamné à la souffrance dans son éternité.

Aujourd’hui, je suis venu pour te libérer. Pour te redonner la mémoire de la moisson qui, elle, va t’apporter la légèreté. N’oublie pas que Je Suis ce Je Suis pour élever la vie, non vers la destruction, mais vers la plus haute connaissance qui te remplira d’amour et de paix. Dans ce bouleversement je me suis lové pour éclairer ta moisson reconnaissante pour la Moisson de l’unité. Je suis venu pour que la vérité te soit révélée et non pour te condamner. Mon nom est lumière, mon nom est Père, en volonté Je Suis la conscience Dieu. Souviens-toi que je suis toujours là, que dans cet Esprit de vérité, je consens par ta composition cellulaire à renouveler ton univers.

Beaucoup d’amour t’es donné. Présence, puissance et conversion, Je Suis lumière et paix.

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