Dans la mort du juste, l’amour est le Soi.

Dans l’écriture de l’abondance, le changement est un soleil qui s’identifie à la mort pour la vie ; dans le mouvement, le divisible est consentant et dans l’accord parfait du moment, le divisible amoureux est l’univers de Dieu. Dans la reconnaissance, l’énergie de la vie est dans la convenance qui inspire et s’identifie à la moisson du moment pour rencontrer l’évidence. Le Monde lumière est une rencontre du souvenir pour la convenance de l’innocence. Le don volontaire est dans la décision qui permet à chacun de se souvenir de l’implosion des connaissances cellulaires. Aussi, je tiens à ce que cette moisson soit régénérée par la prise de conscience de l’unique amour. Tes mains doivent reconnaître le don par l’intermédiaire d’un cœur puissant, aimant ; ton souffle doit être conversion et ton Savoir, innocent. C’est le Soi séparé qui te conduit à tes excès et c’est le Soi aimant qui te replace dans ta verticalité. C’est l’amour unique qui converge vers l’offrande et lui soumet la mémoire du Soi incarné dans le pouvoir du Soi lumière.

Lorsque la lumière est impliquée dans le souvenir d’une réalité, la mort, l’amour, sont un ventre qui vit dans l’unité d’un sacré. Alors, pourquoi refuser ce que tu es puisque le Tout est un présent spontané ? Je vous le dis, le Monde lumière est ici dans l’acte, la compréhension, le Savoir et l’intelligence. Je Suis le moment innocent du juste, ainsi, je vous bénis par les quatre éléments, par les quatre saisons et les quatre piliers du Sans-Nom.

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