La mort dans l’initiation de l’être incarné doit apporter à la Moisson l’Unique dans sa vérité. La prise de conscience doit, dans le mouvement, se placer pour honorer sa vérité d’acuité. Le missionnaire doit offrir au moment présent la qualité de la vie dans son reflet innocent au nom d’une volonté au mouvement modéré. La mort aimante est une moisson régénérante qui permet à la vie de voyager dans le bassin des moissons relevant le juste en tant qu’Esprit. La mémoire se développe ainsi, elle se place dans la conscience de l’être incarné dans son unité, elle meurt dans la manifestation et rejoint le don pour l’offrande du moment. C’est une réalité que le Tout peut présenter à ma paix pour que le cœur de l’univers soit en lumière, bénissant l’intention et l’initiation. Tous les ventres fécondés serviront la loi de la mort pour la vie en reconnaissant que l’exemple est dans le sang, que la mort est dans la vie et que l’Esprit est dans le vivant. Dans les molécules du souvenir, la note vibratoire rencontre l’espace du temps et soumet sa mélodie au cœur du violon. Je Suis le divisible de la mort pour la vie et je me soumets à votre intention. Au cœur des ventres des univers de mon Père je suis venu pour que la science puisse s’élever dans le cœur de Mère comme un souvenir aéré de la lumière des mémoires des mondes et servir la loi dans le chant mélodieux du cœur Dieu. Yahvé porte l’amour vénérable du choix, ainsi tout se posera dans la conversion du Soi pour la moisson des futures générations. Dieu est lumière pour le Terre, Dieu est juste dans l’Esprit de sa paix.
Voyager dans le cœur de la Trinité est, pour la moisson, l’offrande du carré qui doit, dans l’exemple, aimer son reflet. Agneau de Dieu, principe du sacré, lumière aérée, Jésus Christ est ressuscité. Je Suis la moisson du don, le chemin vibrant de l’instant et je me soumets aux monades inspirées pour me livrer entièrement à l’humanité. Je Suis la mort, l’Unique.
Avec mes bénédictions, soyez dans ma paix.