Tu me reconnais dans le trésor caché des expériences conscientes et tu m’enveloppes d’une moisson de mauvais traitements. La mort est dans la science de l’être incarné comme un défi à renouveler pour donner sa vie à la vérité. Dans ce mouvement le pouvoir est Mère dans son Savoir où la louange de l’impression vivante de l’être innocent se soumet aux Moissons du divisible parfait. Dans le Tout du juste, une seule pensée, une seule action, une seule vérité. Dans la Présence, Je Suis cette alliance qui recommence à vibrer dans toutes les essences de la mort pour renaître à la juste pensée dans sa verticalité. En tout ce qui Est, je vis l’unité et j’observe les pieds qui, eux, sont palmés, mais j’espère toujours les élever vers une mort assurée en bénédictions du souvenir et du moment. Je Suis l’offrande existante des états diversifiés du cœur de la Trinité, de la majestueuse énergie cellulaire qui ne condamne jamais, mais qui élève dans le juste, le Juste.
Jésus Christ en tant qu’amoureux a traversé les déserts de l’inconscient pour accueillir le don et l’offrir à la vie. Son Esprit n’a jamais quitté la puissance du sacré et s’est renouvelé en tout ce qui Est pour que la dévotion envers l’action soit une rencontre, non de séparation, mais d’union entre tous les Mondes. Accueillir le bon fruit c’est servir la vie. Converser avec l’attenant du juste et bon c’est renaître dans l’instant et fusionner dans le moment.
Rencontre l’Esprit de vie et tu caresseras son infini. Rencontre la fleur de la vie et tu reconnaîtras ton petit nid. Rejoins ta verticalité et recommence à vibrer. Descends dans le souvenir et reviens pour sourire, car c’est la mort qui guérit, c’est la mort qui donne la vie, c’est le cœur de l’univers qui prie pour sauver vos vies.
Mon nom, Moi.