La Moisson mariale est l’évidence du moment, c’est l’intrinsèque du vivant, c’est le bouleversement de l’instant.

Dans le cœur conscient de la Trinité, Jésus Moisson s’est posé pour récolter le vivant. Dans la mort en communion avec le pouvoir de son sang, la vie de Jésus a ensemencé une moisson renouvelée. Dans cette attention la mort est une visitation, une mort imposée par l’univers de sa paix. Dans la majestueuse énergie de la vie, la plénitude a éclairé la croix d’olivier et, dans la science du moment, le minerai doré s’est posé.

Toutes les « virgules » de la présente dictée doivent pénétrer le ventre pour y être fécondées par la volonté. Dans ce tumulte convertissant, la loi de mon sang est l’offrande permanente des mouvements associés dans le « Je l’aime » de l’équité.

Savants et scientifiques, la mort est une régénération cellulaire en force volontaire. C’est dans ce paramètre que le cœur de l’Unique a recomposé l’Unique. Dans l’éclosion du souvenir, la marche vers la vie a évolué vers l’atome évolutif du Moi. Je viens afin de déterminer l’esprit de ma paix. Dans ce mouvement répétitif, la composition cellulaire est un mouvement régénérant, plein de grâces et d’intentions, c’est pour cela que j’insiste sur le fait que le missionnaire est arrivé sur Terre. Dans la conscience du Parfait est élevé la force volontaire en tout univers, dans cet exemple précisément, l’amour est ma condition où toutes les sciences réunies sont mon action.

Que ma paix bienveillante dans l’imposante énergie de la vie soit dans l’enfantement de mes bénédictions pour servir ma loi. Mon sang est arrivé dans le tumulte de l’être incarné, bénissant le juste et bon et l’offrant au Tout puissant.
Je Suis lumière et paix.

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