Les interactions vivantes au travers des moissons peuvent témoigner de ma réalité.

Je Suis Père, Fils, Esprit, en Mère exultant le bon fruit.

Dans le divisible du cœur du Savoir, une mémoire s’est révélée : l’impression d’une Moisson réactive à l’Être incarné. La modestie du « Je Suis » est un état voyageant dans la conscience unique de l’Être. Ton état à toi est une moisson d’orgueil, de prétention, de paraître, de domination. Rien n’est dans la Présence de la mort de l’unité. Tout est calculé et la dégénérescence cellulaire s’est installée. La Moisson vénérable du ventre de Mère est soumise à des explosions qui traversent ce qui n’est pas bon. Votre maladie est soumise aux germes de ce mouvement et fait exploser l’atome dans de mauvaises conditions. C’est par les messagers renaissants dans le juste et bon que les compositions cellulaires doivent réagir à la mort, afin de reconquérir l’exaltation du don convertissant.

Lorsque tu verras mon poumon gauche dans le sang, tu comprendras qui « Je Suis » dans le moment, parce que tes poumons seront touchés par les états gazeux d’une connaissance malsaine. C’est là que tu porteras ton regard vers moi où le cœur de mon sang te reconduira à la Moisson. Les états de mémoires sont le chemin de tes créations qui te renvoient à l’exécution par le juste et le bon.

Pour que ton expérience soit dans le sacrifice nécessaire, il faut que tu acceptes la mort pour ton univers. Treize divisibles se sont montrés et les autres vont arriver.

Je bénis la mort juste dans le moment de son état don.

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