L’homme est le voyageur intrinsèque du juste et bon de la moisson.
Dans la conversion du souvenir, la force mariale s’est appliquée à recomposer le don de l’immensité cosmogonique dans la mort pour la vie. Ainsi, l’univers des moissons a recomposé la Moisson. La mort est une rencontre de sagesse qui permet au don de s’exprimer par le biais de la monade en mouvement, livrée à tout ce qui Est.
Dans cette expérience, la majestueuse énergie de la vie s’est, dans l’ultime Présence, soumise aux différences des mouvements, c’est une offrande existante entre ciel et terre dans le cœur de Mère. Alors que la rencontre convertissante est une réelle discipline du juste, la mort en est sa mémoire. Dans l’offrande de la moisson, les vecteurs spontanés de l’inspire du moment sont variables ; l’esprit lumière, lui, ne change jamais, c’est un passage puissant et formel de l’équation atomique renaissant par l’implosion et l’explosion. C’est ainsi que nous nous rencontrons sur l’échelle naturelle et scientifique des monades expérimentant l’exemple de la particule de vie inspirant dans la monade des Mondes. Je Suis l’exemple, l’espérance et l’inconditionnel. Le moment est l’immensité d’un Tout se reliant au Tout en Savoir et en conscience dans votre sang, c’est la source du minerai doré qui se meut en Mère pour servir la loi. Les monades expérimentent une moisson inconsciente, mais vivante.
Jésus Christ vous soumet la mémoire d’une rencontre d’exception avec le souvenir intemporel des sciences de la mort pour la vie. Je Suis ce Je Suis livré à la rencontre, pour recommencer dans la mort, afin que la parabole soit vivante dans son exemple.
Soyez bénis.