La source volontaire est une moisson exigée par l’univers.

Je suis la lumière qui éclaire, la puissance du tonnerre dans le souvenir de la moisson. Dans cette généreuse implication, l’esprit de ma vérité se manifeste pour reconduire l’espérance à la moisson d’abondance. Si je suis lumière, c’est pour que Terre-Mère exerce, dans le moment, l’équilibre des sons vibratoires de la mort impression de la vie du maintenant. Isis est le couronnement dans l’état élevé de l’incarnation originelle du Sans-Nom.

Les mémoires revenant dans les monades de l’instant, se révèlent pour accentuer dans les nouvelles énergies l’esprit d’Isis en souvenir pour servir la loi du devenir. Reconnaître ce pouvoir c’est l’élever et non le bafouer. Le côté féminin de l’univers de la mort est imposé par la conversion de l’état don, afin que le masculin prenne conscience du cœur de la mort. Si l’émancipation du juste dans le règne de l’action reconnaît la divinité de l’amour, le messager reconnaît l’équilibre de ses polarités et peut agir dans la conversion comme une impression aimante.

Pour conclure, je dirais que la moisson est l’équilibre parfait de l’éclosion dans le don pour que l’empathie de la mort soit l’instant de la vie. Je vous le dis, la mémoire est une rencontre assoiffée de devoir lorsque mon esprit est dans ce pouvoir. Au cours des mouvements déplacés par l’ingéniosité de la volonté, le pouvoir se réalise en sainteté. C’est la loi juste qui reconnaît dans le ventre fécond, l’incarnation Christ, insistant pour délivrer le Soi.

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