Le moment présent de l’incarnation est dans la roue mariale des Mondes.

Si les monades se précipitaient dans le passage étroit de votre pensée, vous seriez momifiés. Les brûlures de la mort serviraient à rencontrer votre destinée. Vous n’avez pas fait appel à Moi pour que l’omnipotent puisse rédiger son testament. Alors que la porte des initiés est condamnée par votre forme de pensée, nous devons attendre que vous soyez prêts à la conscience des moissons.

« Dieu » inspire le changement, la conversion, mais l’esprit humain n’est pas à l’écoute de l’état précieux des cieux. Il est inadmissible de composer avec les travers de votre pensée. C’est pourquoi nous devons percuter.
– Agneau de Dieu, puissance instructive du Savoir, veux-tu te dévoiler à mes cieux pour que je puisse comprendre le devoir ? Je vois l’initié du pouvoir, mais, aveuglé par le désespoir, le voile s’est posé.
– Consens à t’élever en mourant dans ta création. Ainsi, tu porteras le juste de Râ.
– Agneau de Dieu, donne-moi la foi, afin que je n’hésite pas à reconnaître la science avant le trépas. Je voudrais comprendre pourquoi je suis là. Qu’en est-il de l’inconscient dont tu parles constamment ? Livre-moi la moisson pour que je sois l’univers du don.
-Tu as besoin de te poser pour pouvoir recommencer, retrouver ton identité qui, elle, a été déformée. Inspire la lumière et, dans le silence de l’unité de ta convenance, retrouve le trésor caché que je t’ai donné depuis plusieurs années. Tu ne veux pas t’appliquer, tu te sens toujours fatigué parce que l’effort, tu ne l’as jamais fait. Tu ne regardes plus tes pieds qui, eux, sont embourbés dans la vase que tu as créée. Prends la décision de ne plus porter le poids du passé. Ainsi délivré, tu pourras, dans le devoir, te recréer.

L’homme n’est pas dispensé de l’effort salutaire pour retrouver son univers. Il ne faut jamais hésiter devant l’action pour retrouver sa responsabilité qui, elle, t’a quitté. L’Unique consent à l’espérance de l’instant ; le Savoir, à la rencontre et l’élévation, à la conscience du moment. Et pour finir je dirai : tu n’es pas ce que tu crois. Tu dois entendre cela pour pouvoir faire un pas.

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