Quand j’étais petit, je guérissais. Quand j’offrais, le don se présentait et dans cette communion, je suis resté. Buvez le vin, mangez le pain comme l’initié l’a toujours fait et considérez le comme votre frère aîné.
Prenez le temps de vous poser pour recréer ma vérité et la partager avec toutes les assemblées, ainsi, la voie du soi s’est expansée. Bénissez le verbe « aimer ».

Je suis la parabole du Moi inspiré. Bénédictions pour vos actions et pour le travers de vos pensées. Aveuglé, tu peux t’en aller, mais dans l’espérance, rester. Je suis le soi de l’unité, le présent du passé. Conscient, je suis resté pour offrir mon unité. Seras-tu mon obligé ? Ce n’est qu’une question à se poser. Suis-je le voyageur aimé ou celui qui rejette sa vérité ?
Pansez vos plaies et vous me reconnaîtrez dans la lumière dorée comme une offrande exigée par la loi du Maître à penser. Souvenez-vous de Christ dans la fleur de la vie, où les êtres rassemblés expérimentent la loi juste du sacré.

Bénédictions sur mes inconscients. Changez maintenant ! Nous vous aimons.

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