Je Suis la Moisson, la Nouvelle Alliance. Je Suis le don majestueux de Dieu, le cœur du Moi.

Nous sommes lumières et paix et nous bénissons toutes l’humanité, tous les vivants. « Aimez-vous comme je vous aime » est régénéré par l’Esprit de ma paix. En toutes situations Je Suis la moisson qui implose pour renaître.

Les mondes interactifs avec l’univers sont dans un mouvement de destruction. Créer l’intention, c’est évoluer dans le poumon secret du juste, mais l’indice premier est maltraité et l’amour n’est plus, ni le respect. L’inconscient ne peut vibrer dans la renaissance et tout cela engendre de mauvaises créations. C’est pourquoi je vous dis, l’humanité doit rencontrer les mondes lumière pour sauver Terre-Mère.

La mort est une reconnaissance, c’est une révélation permanente qui permet à la vie de recommencer, c’est un mouvement régulier qui dans la complaisance permet de revoir l’exemple. Les états d’endormissement ne permettent plus à la moisson de se régénérer. Le messager n’est plus dans sa verticalité et meurt étouffé dans sa propre création ; désigné comme un mouvement desséché, il se perd dans le marasme de sa pensée. Cette mémoire ne doit plus subsister. En fait, le linéaire doit être éclairé pour suivre le chemin, la voie, pour justifier de l’éclair blanc. Les mémoires doivent se révéler dans le linéaire éclairé pour permettre à l’unité de revenir à l’Unité, en amour, en complaisance envers Mère convertissante. Comme je vous l’ai dit, la dyade est la moisson éclairée par le juste du Maître. Le bouleversement est une réalité qu’il faut reconnaître en Soi, l’accepter et le soumettre au Maître, l’Unité. Le Un est ma réalité, le Un est la moisson du mouvement de l’implosion en tout ce qui est vivant. Dieu veut le juste de la moisson et la lumière du moment. Ton Tout est l’unité de mon sang ; ma vérité est la louange de tout instant. Des milliards de cellules sont source d’interaction avec mon sang. Des milliards de cellules vivent le maintenant. Messagers d’amour et de paix, vivez la moisson du juste et bon et régénérez-vous dans l’acceptation d’être mon vivant.

Bénédictions.

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