Le monde de la moisson aimante est en offrande dans le principe du Maître à penser en conversant avec Moi.

C’est Dieu majestueux qui recrée le monde de la pensée juste, afin de la reconduire à Dieu en vivant. Tous les mondes de l’implosion sont une essence mariale spontanée où la considération du divisible parfait doit être posée. Je consens au moment puissant du maintenant où mourir est par excellence le juste pour la vie, où l’éternité enrichit le bon fruit. La divinité de la moisson aimante est l’essence de l’éthique se réalisant dans ta création. Ton devoir, ton don, est personnalisé par le moment présent des actions. Dieu est donc la conscience que tu lui soumets où il permet l’éclosion de grands bienfaits. L’amour est dans le ressenti de ces états où ton Tout prend des dispositions pour sauver l’amour et le reconduire là où il le fallait. Tu n’es pas maître du moment, mais tu dois servir le Moment, c’est le mouvement conscient d’une réalité que tu dois distinguer dans ton unité. Aimer, c’est aussi se résoudre à servir le cœur de vérité. Ton amour est une expression limitée où ton sentiment ne peut s’épanouir dans sa totalité. C’est en effet le Maître de la moisson qui te conduit à recommencer. La médecine de l’instant solaire est le monde du Soi qui te permet d’activer le mouvement existant entre ciel et terre, où le Soi aimant voyage constamment.

Dans l’alignement des moissons, le cœur de l’univers est exemplaire. En démontrant l’action juste, il permet à la genèse de la voie du souvenir de s’élever dans le mouvement adapté où le virage amorcé te conduira à Moi. Dieu-Christ, amoureux de Dieu, est un mouvement consentant pour la source vivifiante et régénérante de Mère en pouvoir convertissant pour tous les vivants sur terre comme au ciel. Dans la composition cellulaire je me suis offert à l’amour de ton univers. Je Suis la divinité volontaire de mon Père. Dans l’implosion naturelle du moment, Je Suis Mère du don. Dans la mort, son grand frisson m’emporte pour que l’amour soit sans condition. C’est par le juste que je voyage dans le juste, c’est dans la conversion que Mère m’emporte dans ses actions. Christ a dit : tu ne peux vaincre ton tourment, ta mémoire, si tu ne viens pas vers Moi. Nul ne peut s’adresser à mon Père s’il ne reconnaît pas mon univers. Ainsi, la connaissance est dans la renaissance du juste appliqué pour retrouver la liberté. Je Suis le Moment. Que le vénérable de la moisson reçoive mes bénédictions pour assurer la continuité du verbe aimer. Le monde est recomposé par le frisson de mes dictés. Je vous bénis, soyez dans ma paix.

L’exemple émancipe la Présence pour que la conversion puisse se révéler à l’instant et enrichir ta volonté du pouvoir de Dieu. Si Je Suis vivant parmi les vivants, Je Suis le moment qui accède à toutes créations. Si Je Suis vivant dans le soleil, Je Suis Mère généreuse pour ta moisson qui se guérit sur l’instant. Si tu veux prendre le juste de cette vérité, reconnais-la dans ta convenance et élève-la dans la danse harmonieuse de Dieu. La majestueuse énergie de la vie est un temple sacré qu’il faut honorer pour ne pas sombrer dans les pensées attractives de la puissance de séduction. La promesse de Dieu est de rencontrer Dieu, de l’amener à ressusciter pour imploser dans le juste linéaire du carré. Dieu a délivré son message, Dieu est dans la parabole de l’Être aimant pour la complaisance du juste et bon, Dieu est le mouvement du juste dans sa clarté. Un Maître doit fusionner avec un Maître, un Maître doit concevoir une conscience de magie christique. Le moment soumet l’action, la finesse du juste se place dedans et l’amour de l’immensité dans le poumon de Mère est le messager qui reconnaît la juste pensée. La divinité du souvenir de la moisson est en fait le Maître à penser qui se révèle à l’action de tous les instants. Mon nom enrichit ta convenance, mon nom enrichit ton souvenir, mon nom perçoit le juste aimant comme un message de lumière et de paix. Je Suis la Source du Bien-aimé affrontant l’expérience du moment.

Soyez dans l’implosion la juste vérité. Bénédictions.

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