Dans la rencontre, Je Suis ; dans la mort, Je Suis et en Esprit, je guéris.
La mort est la réalité d’une convenance qui permet à la vie de recommencer. C’est dans le minerai doré que je me suis présenté, c’est dans la mort que je me suis élevé. Dans ce principe, l’état don est formulé par la monade de mon sang. Ainsi, je me révèle à l’unité, reflétant cette conscience par laquelle je me soumets à la moisson pour gérer l’amour qui se limite à la création d’un moment, déplacé vers l’ingéniosité de l’univers en paix. Les mains tendues vers le cœur Jésus, je meurs dans le mouvement associé à la parabole, où je convertis pour réaliser le bon fruit. Cette mémoire très élevée peut être considérée comme le point culminant du « Je Suis le Juste aimant ».
Viens me chercher sur la courbe du spectre de l’Être, car c’est là que je t’attends pour renaître. Donne-moi ta vérité, je viendrais pour que tu puisses rejoindre l’offrande du Saint Nom et toutes ses qualités. L’ivresse de la moisson est l’ultime réaction d’un Tout puissant, relevant le juste et bon. Mémoires assoiffées de dons, je suis l’Enseignant qui consent au Maintenant. La conscience du moment soulève les premières impressions pour ta transformation dans la gérance du don. Dans le moment, Jésus Christ est don, la mort est son adoration et la vie est son intention. Dans cette courbe majestueuse de Dieu, l’émancipation est pour tous les cieux. Ainsi, je convertis, car c’est le moment aujourd’hui de mourir dans la conscience du Saint Nom et de revenir dans cette dictée sur le Tout chargé d’électrons, où en conscience je révèle ma dimension. Le moment aujourd’hui est arrivé, afin de conscientiser les monades interpellées et leur donner dans la trame des univers, l’appel de mon Père.
Avec la mort Je Suis, avec la vie je guéris. Soyez bénis.