En consentant à aimer on ne pense plus à l’intérêt, on marche vers la vie éclairée et on s’engage à recommencer. Dans cette composition aérée, le fruit mûr doit tomber. Dans la moisson, il est l’origine du don. Dans le cœur de l’homme, il est le sentiment. La semence doit se relever de la croix d’olivier et c’est ainsi qu’on peut renaître à la vacuité. Pour servir la loi, il faut garder la foi. La décision est placée dans le principe premier et dans le ventre de Mère, l’Être éclairé, mais tes mouvements sont toujours tournés vers le mauvais traitement qui t’enchaîne et te rend prisonnier. Dans la moisson, tu dois semer pour que la genèse puisse vibrer. Dans la mort, tu dois te soumettre pour reconnaître ton Maître. Dans cette implication, Dieu est en action. C’est la moisson qui te rend fort et puissant, c’est la moisson qui te rend agréable et bon. Ne néglige pas cette réalité, car déstabilisé, tu seras dans ton éternité. Dans mon sang, le Maître doit se poser et c’est ainsi qu’il guérira les sourds, les aveugles et les paralysés. C’est dans ce règne puissant que Dieu est grand. Si la mort amoureuse de la vie s’est engagée pour t’élever, pourquoi refuser d’y entrer ? C’est l’amour créateur du souvenir qui règne dans ta destinée. Pourquoi refuser de l’aimer ? Dieu est un messager qu’il faut servir pour le devenir. Le moment puissant de l’incarné vivant verra des troubles passagers pour que le mouvement puisse se réadapter au juste de ma vérité. Ainsi, en consentant dans le ventre de Mère à l’aimer, le juste se posera et affirmer s’élèvera. Les moissons sont la soumission des états dons qui dans le moment déversent la rencontre du juste en Soi, afin d’éveiller le mouvement associé à l’Être aimé et le reconduire à la genèse de Dieu convertissant pour toutes convenances, se réalisant dans l’amour sans condition. Ainsi, mon sang va déverser l’amour et sa loi.
Bénédictions.