La forme du pouvoir, amoureuse de l’Être, est ici soulevée pour porter la mémoire du Maître.

La louange du Sacré est une science qu’il faut aimer et respecter, afin d’aborder tous les sujets de l’Unique par l’espérance et le pouvoir. Le don de Dieu est la puissance de l’implosion dans le don, mais aussi dans le ventre de Mère et dans ta chair. Il est possible que cette rencontre ne soit, pour les hommes insensés, que le début d’une rencontre exponentielle entre ciel et terre. L’éveil soumet à la parabole la moisson qui doit s’incliner devant l’inconscient qui, lui, dans la marche vers la vie permet de reconnaître le mouvement perpétuel et immortel de l’implosion éternelle. Je Suis dans ce monde la Rencontre selon l’homme au pouvoir renaissant. Je Suis ce que tu veux que Je sois, dans l’impermanence du Tout vivant et volontaire. Jésus Christ est dans le mouvement l’Esprit vivant du souvenir. Nous entrons par la porte de Dieu pour aimer ce monde et le ramener au point d’unité. Si cette rencontre est, dans la convenance, repoussée ou incomprise, le ventre de Mère dans le souvenir reste stérile, il ne peut s’expanser et perd tous ses repères d’intentions et de conversions. C’est la mort qui relève, c’est l’amour qui soumet. C’est cette vérité qu’il faut développer pour que l’immortalité du juste soit le reflet constant et permanent de la majestueuse énergie de la vie se reliant à votre Être, afin de recomposer le même Esprit.

Mon nom est Marie, mon nom est le vivant, mon souvenir est la vibration et mon poumon est conversion. Si tu relies les points du crucifix et que tu l’offres à la vie, tu reviens à la puissance d’émancipation juste, afin de servir toutes créations et accomplir toutes les mémoires de Dieu.

Ainsi nous pouvons terminer en disant en toute simplicité, que la moisson dans l’onde lumière est le souvenir inébranlable de l’Être aimé parcourant tous les chemins de la volonté, pour consentir à vibrer en Mère immortelle. Voilà le fruit de ma vérité qui doit être développé et entendu par toutes les sources Sacrées de ce monde. Merci d’accomplir. Nous bénissons la forme du moment et nous la conduisons à renaître dans le pouvoir de Mère dans son devoir.

Nous sommes lumière et paix.

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