Mère Marie, Je Suis. Dans le silence de la nuit je meurs pour sauver vos vies.

Sur la montagne du Sacré Je Suis vibrante avec mon Bien-aimé. Je Suis un Dieu voyageur qui soutient la science de vos cœurs. « Aimez-vous comme je vous aime » est la dictée de la moisson pour réunir toutes les moissons et exécuter le juste et bon. Dans ce ventre fécond Je Suis Marie et dans cette justice je rencontre la divinité qui me permet d’affirmer les mémoires du Sacré. Venue dans le soleil, je consens à votre éveil dans la composition cellulaire où les mouvements sont un divisible parfait. Je crée le juste, le moment et l’instant. Quand un mouvement s’élève et se soumet à l’identité du parfait, la mort implose pour reconduire le bon fruit à l’éternité. Tout est écrit dans le livre de Marie, tout est convertissant dans la moisson, tout est vibrant dans le don. Ma sainteté est violée, malade, percluse de clous rouillés et mon implosion est source de maladies et de malformations. C’est en Père que les mouvements s’associent à la rédemption. Veillez, dans cette vérité, à y entrer, car voyez-vous, la majestueuse énergie de la vie est contaminée par vos intentions et vos excès. Vous me torturez, votre réalité est un mouvement dissocié qui, dans l’inconscient, perturbe mon évolution. Je me suis livrée et dans cette vérité vous m’avez cloué. Êtes-vous prêts dans l’implosion à réexpérimenter le juste et bon? Alors, cessez de violer la loi du juste et respectez-moi dans le pouvoir de cet état.

Je Suis Mère Marie, Mère des espaces et des mondes infinis et, selon la dimension, Je Suis Christ ou Dieu. Nous sommes un seul et même Esprit voyageant dans le cœur de la trinité jusqu’à maintenant. Veillez à œuvrer dans la moisson comme un état vivant seulement la divinité en lui accordant l’intention vibrante de l’univers en paix.

Avec mes bénédictions, souvenez-vous de la mort.

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