Mon nom est Christ, vivant parmi les vivants.

Mon souvenir est le compagnon de vos vies, mon souvenir est le soleil qui brille, mon souvenir est la moisson dans son abondance.

Lorsque le pouvoir souffle sur la compression de l’Être, la mémoire consent à l’œuvre de mon Père. Lorsque la moisson, en offrande, exige le don, alors ma vérité est celle de Mère. Lorsque le Tout puissant converge vers le souvenir, le soleil brille et se réjouit. Tous les mondes universels sont la source de mon sang qui rencontre le ventre don. C’est Jésus Christ qui a manifesté cette révolution et c’est par lui que le bouleversement arrivera. Donc, pas de tiraillement, pas de métamorphose contrariée, pas un souvenir de maladie, mais un Esprit de paix, de confiance pour le majestueux cœur de Dieu. Ne sois plus inquiet, prends le temps comme il est et ne t’impose plus de contrariétés, car c’est cela qui désuni, car c’est cela qui coupe la vie.

Dans la fusion reconnue sous le nom « amour », l’éternité est le verbe omnipotent soulevant le monde juste et convertissant parce que Jésus Christ a démontré la moisson en se laissant crucifier pour honorer le passage vers la liberté. Prends conscience que l’élévation est la tour du miracle qui reconnaît en Soi la volonté et la science qui doivent perdurer pour t’entourer de bienfaits et non d’esprit mauvais. Lorsque la lumière de l’empathie s’exprimera dans votre ère, le Tout unifié soulèvera la pureté de l’Être et le conduira à mon Père. Dans son souvenir, la parabole est l’unité de la Présence amoureuse des ventres dans leurs maturités. N’aie plus peur, car la peur n’existe pas. N’aie plus peur, elle est la mauvaise impression de ta vérité. Reconnais l’amour de l’Être et soumets-toi à son offrande comme un état, un mouvement, qui s’implique dans le don pour voyager dans la communion des formes expressives de l’instant. Ne sois pas troublé par les bouleversements annoncés, exerce-toi à les accepter en considérant que tout ce qui vient est bon pour le renouveau renaissant dans le juste du pouvoir du Saint Nom.

Je crois en cette vérité qui m’accueille aujourd’hui dans le pouvoir du Soi, en Mère, monde puissant de vérité et de juste pour éclairer. Avec les bénédictions du Saint Nom, l’amour dans l’empathie est la moisson d’un égrégore puissant, la mort existentielle entre tout ce qui est ma vérité.

Commentaires fermés.