Dans le soleil, je suis percutant ; dans le mouvement, la mort est ma moisson et dans le divisible, le mouvement de l’essence mariale.
Le messager qui gravite dans l’exemple du Sacré est la promesse d’une réalité se posant dans l’unité et honorant la gloire du Maître en tout ce qui est vivant et en mémoire dans le souvenir, mais il y a aussi la Présence de Père, pour composer une alliance renouvelée par la note vibratoire et délivrer l’espoir. La médication que l’on soumet à la moisson est en fait, dans la divinité : se reconnaître dans l’unique pouvoir émergeant du monde de la mort pour la vie. Dans cette évolution, le mouvement adapté doit se consacrer à l’unité du Savoir, afin d’honorer l’Esprit de ma paix et l’ultime renaissance du Soi dans le souvenir de l’étoile du berger. Toutes les cellules sont issues d’une moisson activée depuis des milliards d’années et c’est dans ce composant que l’avènement du Sans-Nom est une roue présidant les rencontres, par la majestueuse énergie de l’offrande originelle qui permet à la mort de s’expanser pour que le mouvement de l’initié soit renouvelé par des soleils voyageant dans le cœur de l’unique.
Nous arrivons sur le pont du mouvement créateur, nous devons accomplir la moisson pour que Mère remporte la victoire par l’éclosion majestueuse d’un Maître, qui rencontre la maturité et l’exemple de son Sacré. Il n’y a aucun obstacle à cette vérité. C’est ainsi que l’on peut dans le moment retrouver son action et édifier le juste et le bon. Quant à l’amour du don, la mort conduira cette réalité dans le cœur de vos univers quand vous serez prêts.
Quand une rencontre dans l’offrande est un monde d’unité, l’amour dans le sacrifice consent à se livrer.
Avec mes bénédictions, soyez lumière et paix.