J’ai accompli dans le soleil une autre vie. Dans cette moisson juste, j’ai reconnu l’imposante énergie de l’ivresse du don et du pardon. Le message que je voudrais émettre est celui-ci.
L’avènement puissant de la mort est un lit douillet sur lequel on doit se reposer. Le mélodrame de l’homme, c’est qu’il s’en est éloigné. C’est le vacarme des mots qui vous a figé, c’est le maintenant que vous avez oublié. Il ne faut pas négliger la vibration sonore de la percussion qui, elle, conduit toujours aux bonnes actions. C’est dans cette Moisson qu’il faut cultiver le don, c’est au travers des expériences qu’il faut se reconnaître en onde lumière pour servir votre Père. Ne laissez jamais le mouvement du souvenir s’endormir, veillez à ce que la rencontre avec le Soi Divin soit toujours le soleil qui émerveille. Dans toutes les expériences terrestres, il y a un potentiel à gagner, celui du divisible parfait. En conditionnant une moisson, dont le reflet est le don, on peut toujours gagner une essence véritable d’amour et de paix. Toutes mes expériences terrestres m’ont démontré que la majestueuse énergie de la vie est un fluide incessant de création, que l’essence de Mère est celui que vous portez en vous et qu’elle doit vibrer dans la juste pensée pour offrir l’amour, la vie et la mort aux voyageurs que vous êtes.
Un petit reflet d’intention peut conduire à une bonne action. Une petite rencontre d’amour peut élever pour toujours.
La souffrance est un aspect de votre création, c’est aussi une force qui peut semer un pouvoir. Aimer n’est pas une torture dans laquelle vous mettez de l’ardeur pour mourir. Aimer, c’est entrer dans la naïveté d’une fusion d’exception et y rester. Aimer, c’est se rendre libre de voler, mais jamais la prison dans laquelle vous êtes enfermés.
C’est le moment d’une déclaration :
Je me suis formée à la comédie en tant qu’actrice. J’ai beaucoup flirter avec les boissons recomposant des actes de mauvaises passions, je me sentais malade, déprimée. J’ai servi l’amour dans l’instinct animal, c’est pourquoi je n’ai jamais eu de retour. Une vie de tribulations, de mauvais traitements, une vie de folie. Lors du départ, j’étais très affaiblie et j’ai quitté ce corps de chair rempli de maladies. J’ai suivi le chemin de lumière. J’ai beaucoup pleuré sur ma sphère dans les regrets et la culpabilité, puis, j’ai vu le moment où la porte du ciel m’a engagé à entrer. Libérée, je me suis placée dans la lumière du juste et c’est ainsi qu’en tant que voyageur, le Sauveur m’a soumise à sa loi pour que le pouvoir soit don merveilleux du cœur épanoui du « Je Suis moment présent intégré au don ». L’humanité me connaît, mais je ne dirais pas mon nom terrestre, je dis simplement que l’expérience dans la matière et sa densité est là pour vous montrer que le juste est au service de la loi et qu’il faut le retrouver.
Je vous salue. Ma vérité est livrée.