Dans le vacarme de votre société, je me suis posé.

Je me nomme Mouvement Dieu, ainsi, Je Suis.
Dans la diversité puissante de mon sang, je suis arrivé au bouleversement renaissant pour déterminer la Moisson juste des moissons. Lorsque le mouvement, imposant le mouvement, s’est manifesté dans la composition cellulaire de l’être incarné, la mort assurée s’est montrée avec délicatesse et raffinement pour engendrer votre société. L’épreuve d’une rencontre a permis l’évolution de la mort pour la vie. Le messager juste est arrivé à l’acuité d’une vérité qui, non seulement est celle du vivant, mais aussi celle de la parabole accomplie dans la mort en volonté pour le juste du moment. En tout ce qui Est, Je Suis la Présence qui justifie du moment de l’incarné, initié par la parabole du Moi. Toutes mes rencontres dans la mort pour la vie m’ont soumis à des dérèglements du souvenir et m’ont apporté une moisson atrophiée. Dans le contexte actuel, l’évidence est perturbée et le principe premier n’arrive à plus rien régler. C’est une volonté précise qui permet de stabiliser l’éclosion du futur présent, mais je dois dire que l’inconscient est soumis à de fortes pressions de la conscience du maintenant. Vous avez débordés dans votre mouvement et vous vous êtes placés dans le souvenir comme une moisson de folies et de maladies. Tout ce que je ressens est, dans la puissance de votre évolution, comme un sacrilège pour l’unité de l’être incarné.

La manifestation de l’univers est une offrande salutaire pour votre Terre, mais le messager ne considère plus la mort dans la communion des vérités et s’en éloigne, évidemment. C’est pourquoi, nous reprenons le flambeau de l’espoir, pour que la mort génère la vie pour tous, en servant dans l’humilité le pouvoir de la parabole et j’insiste beaucoup sur la parabole. Je m’exprime aujourd’hui, où, en exemple, La Moisson rencontre la moisson.