La conversion est dans la lignée des ventres féconds.
Dans l’univers, la parabole de la genèse se soumet à l’étranger, à sa convenance, à sa séparation. C’est pour cela que l’univers de la moisson doit être respecté dans l’innocence du don. C’est dans la mort qu’une moisson peut reconduire son bon fruit à la lumière de la vie, lorsque la moisson est dans le mouvement du juste et bon. Dans cette conscience élevée, la mort peut tout donner. Dans le don, la moisson peut se montrer. Dans le juste, la moisson est le cœur vénérable du buisson ardent.
Les hommes volontaires se sont inscrit dans la parabole et tous ont été rejetés par votre forme de pensée. La peur, l’incompréhension ont été votre justice. La divinité de la moisson a été bafouée, jugée et condamnée. En toutes matières, l’exemple s’est montré ; en toutes densités, l’exemple s’est dessiné, mais la conversion ne s’est jamais placée et en tout ce qui Est, ma paix n’a jamais été acceptée.
Lorsque l’homme vaincra son immobilité, il sera bien obligé de céder devant l’inconscient de l’Être bien-aimé, car aujourd’hui il est présent parmi vous, pour servir la loi de la mort pour la vie. En sacrifié, il remonte vers la croix d’olivier pour de nouveau l’éclairer. Alors que tout être vivant doit se pencher sur son inspire, il sait que les difficultés du passé reviennent constamment, jusqu’au jour de la délivrance qui n’est autre que l’espérance et la liberté.
Dans cette conscience, l’ultime du « Je Suis » est le miel douceur pour vos coeurs. C’est aussi un rappel permanent qui permet à chacun de retrouver le juste, en maintenant l’équilibre des polarités. Lorsque le tout parvient à se contracter, le divisible permet d’entendre la vibration renouvelée et c’est dans ce concert harmonieux que la parabole s’identifie à la lueur de ton coeur pour le rendre heureux. Le Tout est la sagesse d’un état réactionnel et intentionnel, pour soulever le minerai doré où la mort reconnaît la moisson comme un coeur vivant et puissant.
Maintenant, la déité de la monade réactionnelle va montrer ses ailes pour délier les noeuds de l’offrande, ainsi sera fait mon esprit. Dans le milieu aquatique, la mort est une densité très lourde, car la pollution est très importante. Dans ces états, toute convenance est liée à la mort pour renouveler sa véritable identité par le Tout puissant incarné de l’être réactionnel de l’univers, qui interpelle l’essence de la connaissance à soulever son pouvoir, pour le conduire au devoir. La mort est le moment juste qui permet le renouveau en toutes réalités émancipant sa résonance. Jésus Christ, dans la communion des états élevés de la pensée, permet la réaction de la parabole, afin de la conduire à un état de faits, imposé par le don.
Nous sommes lumière et paix, bénédictions du moment et Moisson pour le messager imposant de l’unité. Vivez la paix, car la monade doit, dans le souvenir, être libérée pour reconstruire la mort vers la vie.
Nous sommes l’impermanence de l’instant. Nous vous aimons dans ce champ d’actions où le spectre du minerai doré est bien vivant. Amour et paix livrés à vos intentions.