Je conviens du juste de la parabole et je consens à mourir pour que la moisson du moment ressuscite dans le point de la source du mouvement à maintenant. Le manège inconscient du juste et bon est une convenance du moment consentant à servir la totalité de l’être aimant. Je vous le dis, le mouvement du juste s’est inscrit dans l’initié immortel du missionnaire conscient de l’enfer. Je suis la moisson du juste et bon qui rencontre l’exemple de la mort pour explorer la votre dans la moisson de votre offrande convertissante.
Sur la branche d’olivier, l’hérétique s’est posé. Il est arrivé au souvenir de l’offrande et a imposé à la moisson de ne plus bouger, car c’était sa leçon. En tout ce qui Est, l’hérétique a voulu vibrer, mais l’inconscient l’a rattrapé. C’est dans l’unité que tu dois retourner, car tu dois semer pour offrir à la moisson la Grande Intention. Tu as voulu condamner l’exemple du Savoir, voilà pourquoi j’exige ton devoir. Tu seras dans la mort pour servir et tu y resteras jusqu’à ce que ton devenir soit dans le mouvement réactif à mon don.
L’indigent est conscient de l’offrande.
Je ne suis pas le mouvement de la moisson, mais l’indigent qui reconnaît la conscience de l’humilité comme un trésor caché. Ainsi, le soleil reconduit mon obscurité à la semence éclairée de l’éclosion renouvelée. Je suis la compassion.