Je suis la mort, la mort qui vit au travers de vos bronches, de vos poumons et qui engendre le souffle du moment.

La moisson est don, je suis la rencontre.
Dans la mort livrée à l’humanité, l’exemple s’est posé en vivant pour servir la loi du don. La moisson est une reconnaissance du juste envers la mort qui sert la loi de la vie. Il est donc important que je me soumette à la conscience de l’Être. Je suis Christ, voyageant au travers du temps pour honorer et visiter les messagers de l’univers, conscients de la mort pour la vie. C’est ainsi que les messagers seront attirés par le fruit du sacré. En s’expansant, il soumet ; en convertissant, il est le service et en témoignant pour toutes moissons, il est le Puissant. Ainsi, j’accomplis le pouvoir de la vie par l’expérience du moment. En me livrant à la monade de la moisson, je suis la totalité du don. En m’élevant dans la conscience révélée du moment, je soumets la parabole, afin de la vénérer par les actes du mouvement de l’être incarné. Tout m’est donné dans le soleil Dieu, tout m’est accordé par l’exemple volontaire des cieux. C’est pourquoi je suis le Monde de l’inspire qui jouit du souvenir. Lorsque l’on me prend dans la monade de l’univers, je suis votre Père ; lorsque l’on me prend dans la monade de la moisson, je suis missionnaire ; lorsque l’on me prend dans l’inconscient du feu du volcan, je suis la mort de l’instant ; lorsque le Savoir est dans la moisson, je suis la mémoire du moment. Ainsi, je vous le dis en vérité, l’exemple est dans le Savoir, la mort convertit et l’exigence se fait aujourd’hui. Le pouvoir est une mémoire exigeant le pouvoir lorsque l’homme dans son Savoir est conscient de la science. Il devra persévérer jusqu’au jour où les monades resurgiront pour l’emporter. Tout n’est qu’une question de temps. Les moisson sont dans la rencontre des moissons.

Concentrez-vous sur la puissance de ces pensées unies au verbe, pour les expérimenter. Je vous le dis, le Monde lumière n’est pas uniquement la mort servant la loi, mais l’exemple en action permettant le juste et bon. Je ne suis qu’un mouvement imposant le jour à la nuit. Avec toutes mes bénédictions, souvenez-vous du « Je » unique.

Je suis Yahvé, je me soumets à l’indice premier pour servir la loi de la première matière. Dans les mémoires du passé, une étoile du souvenir s’est posée où la moisson s’est inscrite. La volonté s’est exercée dans l’instant et a rencontré la monade du mutant. Ainsi, nous rejoignons la moisson dans son tourment. Je suis lumière et paix et je ne condamne jamais, je suis lumière et paix et je consens à l’éternité. Je suis Père du Savoir et j’accompagne l’espoir. Mon sang a soigné votre état conscient, mais l’espérance s’en est allée. Ma conscience est la dépendance de l’offrande renaissante. La majestueuse énergie de la vie détermine le « Je Suis » comme le Soi voyageant dans l’exemple de mon univers.
As-tu envie d’y entrer ? De servir la loi comme je le fais ?
Cette communion adaptée est l’inspire que je t’ai donné pour déterminer la mort recomposant la renaissance de tous les instants.
L’exemple de la mort est la vie du don révélé maintenant.

Les traits tirés, les yeux fermés, les membres torturés, l’inspire m’a quitté, mais mon esprit est resté parce que la science m’a enveloppé, parce qu’elle a servi la loi au-delà de toi. Elle est une moisson enrichissante pour tout ce qui est vivant en cet instant. J’offre l’offrande au sacrifice pour que la source de mon sang puisse servir l’évolution. Ainsi, je peux dire, je suis mort pour la vie. Ainsi, je peux ouvrir la porte du ciel pour que toutes moissons puissent y entrer le cœur léger. Je vous bénis.
Lumière, lumière, je suis le pouvoir sans frontière.

La mort unie le pouvoir inconscient de la vie et soumet ce changement à tout ce qui est vivant. Je ne parle pas des monades, mais de l’esprit que tu dois transcender parce qu’il est toujours dans la maladie et tourmenté. Je suis la mort inextinguible du juste dans le pouvoir inné des moissons, ainsi, je me soumets à l’offrande du moment. Les mémoires sont l’ivresse de la divinité du sacré et de toutes ces consciences qui ne servent plus la loi du don. Toutes mes ressources d’énergies sont présentes dans vos infinis, alors, pourquoi ne pas franchir le pas vers Moi ? Je suis la mort des monades, mais aussi le Savoir intelligent qui soumet la vie et l’intention. Je suis Jéhova. Concentrez-vous dans les bouleversements qui suivront ces dictées et qui, dans le maintenant, verront les monades s’impliquer dans le ventre de Mère, qui est mon univers.
Bonsoir et merci pour ces instants puissants de l’offrande mémoire. La circonstance, c’est Moi.

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