Je meurs en exemple.

Le changement par la mort est une offrande miraculeuse. La combustion dans la moisson est le changement de l’instant. Le cœur de l’univers est la grandeur d’un mouvement qui s’exécute par la mort pour la vie. Je suis la forme convaincante de l’être aimant qui s’applique dans le « Je suis vivant » et qui reconnaît la mort comme son amie. Je suis la rencontre des éclosions, le service du pouvoir et le Savoir. Dans le principe premier, la mort du divisible est un état naturel de transformations qui conduit les éclosions à la mémoire du souvenir, pour convaincre le juste au travers des mouvements associés à l’univers du don. La mort de l’ivresse du mutant relève d’un état puissant de circonstances selon l’instant. Les monades de la moisson sont réactives au meilleur du Soi pour une nouvelle vocation. La mort de l’immensité correspondant au Moi est la volonté du sacrifice qui permet à la convenance de se renouveler. Je suis Moi. Je renouvelle la déité et en volonté je lui permets de mourir en convenant d’une seule énergie inspirée dans l’instant. Dans l’imposante émergence du « Je suis don », une réalité : la moisson, une conversion qui soulève la puissance volontaire de la conscience vouée à se livrer naturellement.

La composition cellulaire est dans le divisible l’exemple de toutes convenances dans la lumière du Soi et permet à chacun d’exécuter, par les monades, l’exemple de la paix. L’heure de la mort est livrée, le sacrifice doit s’exécuter. La mort des moissons est destinée à retrouver dans le moment de l’éclosion le sacrifié. Je suis Moi et je bénis par trois fois pour que la conversion soit assurée.
Je suis mort pour construire la vie. Je suis mort pour que la moisson soit don. Je suis mort pour que l’atome puisse imposer sa loi et je suis mort pour servir la juste réalité.

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