Je suis la convenance d’aujourd’hui. Je meurs dans vos infinis et je me soumets à vos vies.

La mort est une offrande aimante qui permet au pouvoir de se placer dans la composition du don. L’exemple est un Savoir initiatique qui s’expanse pour nourrir toutes vos cellules, afin de permettre au don du portement de croix d’exulter la maturité dans la présence des moissons. C’est dans ce divisible que nous communions pour offrir au don du ventre de Mère la réalité de la conversion, qui doit assurer son action.

Les perles des moissons sont des graines semées pour mourir et amorcer un renouveau qui s’exprime dans le moment. Je me sens dans cette communion, comme l’inconscient vibrant de l’instant. Je meurs et je converge vers le souvenir pour mourir dans le Moi du pouvoir, afin que l’initiation de l’œuvre de la mort puisse exciter l’inconscient et l’amener à se renouveler en percutant la moisson. Je puis affirmer que le mouvement imposant de la mort est un état impliqué pour semer. Je suis venu pour que le souvenir soit renouvelé, mais je suis venu aussi, pour que la mort puisse être ton amie.

Le Monde impliqué des monades exemplaires est la lumière de votre univers. La moisson du Moi pénétrant est une réalité qui s’active constamment. C’est pourquoi je dis que la moisson est l’état don impliqué dans la conversion pour servir la loi de la réaction. Tu as donc tout pouvoir, rien ne peut être innommable puisque tout t’est donné et que tu peux, dans le changement, le démontrer. Jésus, l’homme du souvenir, est mort pour que la conscience de la vie puisse, en toutes créations, démontrer l’importance de l’instant.

Nous pouvons composer la juste pensée lorsqu’on établit la relation avec l’être incarné de la monade, expérimentant la moisson juste du Moi. Servir la loi, c’est aussi se révéler à l’inconscient, afin de partager les épreuves de la mort.

La convenance des monades est une réalité existante entre le ciel et la terre depuis la nuit des temps et les preuves de cette conscience évidente sont l’arrivée du portement de croix, qui doit être accepté selon la loi. Vous inspirez dans le moment et vous conservez les moissons de l’initié, prisonnières du volume que vous représentez. Les mémoires sont dans l’esprit humain cette communion, afin de ne pas aller plus loin. Nous constatons que le virage vers le Soi, soumis à la déviation d’une intelligence développée, est sans action. L’inconscient est malade, l’esprit le rejoint et le souffle est coupé. Toute cette forme de pensée se limite à cela. Vous devez donc apprendre à donner l’inspiration à l’unité que vous représentez, afin de la dégager de sa prison dorée. Je suis la juste pensée qui, en exemple, veut s’affirmer. J’ai l’intention, dans le Savoir, de nourrir votre intelligence en lui donnant l’exemple de l’expansion du don de la mort.
N’hésitez pas à poser des questions.

La mort offre la vie. Son esprit secoue le juste pour que le portement de croix soit Moi dans l’exemple du choix. Je me soumets aux moissons pour que la composition des monades puissent, dans l’inconscient, s’expanser en mémoire pour tous les temps. Le pouvoir est un état volontaire qui permet, dans le Savoir, de construire un nouvel univers. « Dieu » partage, « Dieu » soumet et « Dieu » crée.

Que la composition du divisible t’apporte le changement de la sagesse pour voyager vers l’univers de ton intention. Croiser la mort de l’inconscient des monades, c’est se livrer à l’initiation du Moi où ta composition cellulaire se retrouvera. Je suis Moi.
Sois bénis dans l’imposante énergie de la vie.

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