La pluralité s’inscrit dans la maladie, l’exemple en est dans la moisson.
Je meurs dans chaque instant et en vivant je me montre dans le moment, mais tu ne regardes jamais Mère dans son action puisque tu lui coupes le nez constamment. L’esprit vivant de l’incarné est, dans les ventres, épuisé, mais l’importante décision est celle de ton choix maintenant. Tu as consenti à vivre la vie, mais tu refuses la mort de ta totalité pour reconnaître le vivant de l’inconscient du moment. Toutes les larmes versées en toutes convenances ont été emprisonnées par ton manque de volonté et toutes tes offrandes ne m’ont jamais permise de retrouver le visage du sacré. Tu as édifié un Monde mauvais et cette illusion t’a empêché de respirer. Etouffées, tes cellules n’ont pu conduire le bon fruit à l’éternité. Alors, la mémoire du souvenir recommence à s’exécuter pour que tu puisses recommencer en vérité dans le juste de la mort pour la vie.
Toutes les convenances entrent dans le sacrifice pour retrouver un état différent et pour expérimenter la mort-vie et concevoir un Monde puissant pour le devoir. Mon nom, dans la rencontre, est le Savoir et la mort-vie, dans l’inconscient vivant, est le Moi profond du moment. Si tu me fais confiance, en tant que voyageur tu te souviendras toujours que la mort est l’essence constructive de l’ADN. C’est dans cette expansion que l’on doit rencontrer le maintenant.
Vivez dans le souvenir puissant et présent et laissez couler la rivière d’argent dans le Tout du moment, en souvenir de la moisson.
Avec mes bénédictions, Je Suis le changement.