Jésus Christ est mort pour servir l’humanité.
Lors de son offrande, le juste de la forme s’est recréé. L’existence du souvenir dans le mouvement de la composition cellulaire s’est soumise à la conscience expansive du « Je Suis ». Dans ce bouleversement, la mort du cœur des moissons s’est identifiée à la nature installée du « Moi, révélé ». L’homme s’est réincarné après avoir trépassé, l’homme s’est jumelé avec l’esprit de ma paix. Ainsi, le portement de croix est pour l’offrande, le juste puissant incarné. Cette expérience doit vous apporter la conscience de votre réalité, afin que votre divisible soit offrande pour toutes moissons. Ce monde exponentiel est la lumière juste de l’insondable, qui permet à la note vibratoire de s’exercer, par le dessein de la mort, au Don christique offrant le juste. Dans toutes les dispositions, la moisson de l’inconscient émancipe naturellement l’exemple permanent et soumet le divisible aux pouvoirs incessants. C’est cette mémoire que vous avez rejetée, pour vous tourner vers le mauvais.
L’existence de la vie est la loi de la mort et rien ne pourra changer cette évidence. Dans toutes les rencontres de la moisson, la mort impose la résurrection, d’où la force volontaire dans l’esprit vivant.
Aimant, Je suis.
Puissant, je vis.
Aime-moi plus que toi-même et j’agirai dans l’essence de ta vérité.
Ainsi, nous bouleverserons le don, afin que le changement puisse s’adapter à la réaction de l’instant.
Nous vous aimons.