Chaque jour est une communion avec la louange de la vie, chaque nuit est la force volontaire qui me sourit. Ainsi, le don du précieux de Dieu est la louange de mon cœur heureux.
Lorsque je suis dans la maladie de l’esprit, je consens à être don pour que la conversion du moment soit l’éternel du juste et bon. Mon sang est livré à la voie du Sacré et tout m’est donné dans l’humilité où je m’assois pour remercier.
Dieu est la loi de l’inconditionnel, qui permet à chacun de vivre le réel. Alors, je regarde mes pieds et je les remercie de s’élever, pour ne plus troubler le moment présent inextinguible de la pensée juste, en recomposant, dans la mort, la vie, l’inconscient vibrant du Tout Puissant.
Alors, je reconnais l’instant de ma vérité dans le mutant qui doit s’accomplir dans ce mouvement.
Bénédictions.