L’Homme dans la conscience de la moisson est livré à la destruction des mouvements en s’opposant au Juste et Bon. Son intériorité n’est plus dans la combustion, et son esprit vient tout aggraver. Insatisfait, il rejette la paix et les maladies finissent par arriver. Les divisibles conscients sont tiraillés et déclenchent des mémoires résignées. L’illusion à cette appartenance déracine l’axe vertical du  »Je Suis Vivant » et conduit aux déviations d’un Tout qui ne soumet que la mort. L’équilibre est rompu dès l’instant où tu te soumets au leurre. Tu violes mon impression de savoir, et ton Don est usurpé par le manque d’attention que tu portes à ton sacré.
Ainsi le Don amoureux de ton Moi pensant n’est plus que le débris d’un intérêt d’orgueil.
Cesse tes activités de malade tourmenté et prends soin du Moi vivant qui Lui n’est qu’un amour brûlant, s’expansant pour la Moisson, en assurant le Juste pour le Bon.

La nuit, la mort m’envahie,
Le jour , je suis dans la folie,
Qu’as tu fais de ta vie?

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