L’homme est un livre convaincu du savoir. Il juge la mort du divisible comme un état naturel, lorsqu’il s’agit de la nature, mais il oublie qu’il en fait partie. La mort est dans le juste et s’expense dans tout ce qui est vivant, l’homme a oublié le sacrifice temporaire et son règne s’étend comme la nature pour revenir dans la confirmation de la vie. Cette convenance rencontre toutes vies, afin d’unifier la moisson dans le Don amoureux de tout ce qui Est.
Je n’ai pas de nom, je suis le souvenir du don
Je n’ai pas de forme, je suis l’univers de l’homme
Je suis la moisson de toutes les convenances,le moment présent, le « Je Suis Vivant ».
Je rappelle que Christ signifie :
conscience de l’homme réactionnel et intentionnel du sacrifice temporaire.

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