Pour communier avec le soleil dans sa grandeur, il faut se rappeler que son offrande est permanente, et que le souffle est l’invincible dimension d’une seule réalité. Tout s’établit par les mouvements, générant ainsi la conscience du recommencement. La Mémoire livre à la forme , la conscience du pouvoir qui doit en don, justifier du pouvoir du point dans ses rencontres expérimentales. Dans cette réalité, la science se révèle à ce qui est et tout se déroule comme une rivière qui coule au travers du temps et qui transcende les cailloux en diamants.
Si tu es ce « Je Suis », c’est parce que « Je Suis » la bactérie s’est soumis au divisible pour vivre ce que tu es aujourd’hui. Si le mouvement me suit, « Je Suis » ce que tu es sinon tu ne serais pas. Si tu prends la terre pour mère et le cosmos pour père, tu ne peux que te définir comme le point de jonction qui est le mouvement de la vie.
Je dirais que tu es ce « Je Suis » dans la conscience mariale, aux pouvoirs illimités. En considérant que la vacuité c’est cela, tu ne peux que croire à la rencontre du Soi qui, éveillé, continue dans son offrande, à évoluer
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