L’Homme est la divinité, créé par la conscience de l’ivresse immortelle. C’est par l’homme, que l’offrande converge vers l’avènement puissant du Dieu vivant. C’est par ce pouvoir que la loi revêt la conversion, et c’est dans cette mémoire que la genèse se soumet au développement du ventre de mère. Cette mémoire justifie la création dans tout son développement.
Ainsi le mouvement divisible est l’espérence de la vie pour le recommencement.
Je suis Dieu vénéré dans sa composition
Livré à la source de son intention.
En don, je suis conversion
En communion je suis la vacuité, le sans-nom.