Le ventre de Mère n’est plus dans la plénitude.

Il est souffrant, il est à l’envers, il ne peut plus construire l’amour et la paix, ni convertir en réalité. Tous les mouvements de la Sainteté sont bloqués à l’orifice du nez. Ce qui signifie qu’il n’y a plus de place, plus d’implosion suffisante pour respirer. Il faut donc prendre conscience et en charge tous les évènements de la vie qui permettent à Mère de reconstruire la vie. C’est une étude faite depuis des millénaires, le recommencement est éternel. Et dans cette actualité aujourd’hui, Mère ne peut plus recommencer comme elle le faisait, car tout a dégénéré. C’est pourquoi je veux te donner une initiation de vérité où le Verbe s’accomplit.

Quand la mort, l’amour et la vie se sont posés dans le circuit électromagnétique du Juste, il y a eu – comment pourrait-on dire ? – une étrange fusion sanguine qui s’est placée en tout univers pour retrouver la capacité à Être. Je donne mon sang, tu prends mon sang, je te soumets à mon sang et tu guéris dans le mouvement Saint du Juste.

Parfois, certains hommes peuvent offrir une partie de ce que je viens de te nommer, mais négliger l’autre. Il faut donc tout harmoniser et pour cela il faut recommencer dans son éternité pour obtenir le juste pouvoir de la Sainteté. Dieu, comme je te l’ai dit, est une complaisance. Dieu est un souvenir qui se manifeste dans la présence du moment et de l’instant. C’est pourquoi l’éclosion nécessaire pour apporter l’implosion et l’explosion c’est-à-dire la résurrection.

Oui, je peux m’exprimer aujourd’hui très clairement sur tous les sujets de la création et je peux dire que Mère est une source d’énergie impliquée dans l’immuable du pouvoir du monde du linéaire. Je le dis, toutes les formes ont acquis le même Esprit, selon la condition et le moment présent, mais tout vivant se renouvelle constamment. Être ce Je Suis, c’est développer une forme de pensée qui dépasse toutes les connaissances que vous avez. C’est-à-dire l’implication initiatique du juste dans un mouvement de répétition quelle que soit la forme, le pouvoir, l’instant et le moment. J’insiste là-dessus, car vous pensez, vous les hommes, que vous savez beaucoup de choses, mais en réalité, que savez-vous, puisque vous n’êtes même pas dans la capacité de vous reconnaître ?

Je ne suis pas ce que vous croyez. Je suis Ce Je Suis dans l’instant, c’est-à-dire toi. C’est toi qui me conduis là où j’aimerai aller, mais souvent tu prends des tournants à 90° et je ne sais pas pourquoi, mais tu perds pieds. Alors, ne te crois pas si grand que tu le penses, car tu es si petit, si maigre, si malade et tu ne le sais pas. Tu as perdu le sens de la liberté, tu n’es plus dans le pouvoir Saint qu’un petit grain de sable posé dans l’immensité où il se meurt doucement.

Tu n’as pas appris à être vivant. Tu es toujours sous le commandement d’un raisonnement d’un niveau extrêmement puissant qui te conduit dans le contraire de ma dictée, c’est-à-dire vers des univers de maladies et non de plénitude. Alors, aujourd’hui je veux te donner la preuve de ce que tu es. Être ou ne pas Être. Être où ne pas Être, c’est là un grand dilemme pour les hommes. Êtes-vous prêts pour la moisson du recommencement ? Êtes-vous prêts pour accueillir les dons de la création ? Êtes-vous prêts pour vous impliquer dans le pouvoir Saint, juste, de la maturité ? Êtes-vous matures ou êtes-vous encore des enfants au balbutiement du commencement ? Qui êtes-vous ? Qui es-tu ?

Si je suis là pour m’exprimer, c’est tout simplement parce que l’amour m’a guidé vers l’Être de Sainteté et aujourd’hui je dis, en toute conscience, que je suis un Dieu puissant et révélé à l’amour de l’éternité. Peux-tu en dire autant ? Tu es soumis à la guerre, à la colère, à la vengeance, à la jalousie et bien d’autres défauts de ta création et tu penses être dans le juste. Ne crois-tu pas que le juste est simplement ce que tu es au fond de toi et que tu n’écoutes jamais ? Le juste, le discernement, le souvenir, l’amour, la mort, la vie, ça c’est le juste ! Mais le juste tu le repousses continuellement. Tu ne veux pas prendre conscience de qui tu es, alors, tu prends des chemins détournés qui ne t’apportent rien de bon. Aucune légèreté ; que du souci. Aucun mouvement Saint ; que de la maladie. Tu vois, ce « Je Suis » n’est pas ce que tu crois.

Alors, il faut creuser, creuser, car le trésor que je t’ai soumis est une petite graine en or qui se développe au contact des initiations et des appréciations du juste. Si tu veux trouver cette petite graine, il faut que tu creuses, que tu te transformes, que tu appelles la Condition de Dieu en toi et que tu la fasses ressurgir sur toi-même et sur tes frères. Est-ce que tu fais cela ? Tu es dans l’incapacité de te rencontrer. Tu perds pied. Alors tu inventes, tu dessines des projets incohérents et tu crois que c’est le juste. Réfléchis à ce que tu fais. Tu ne dois plus dormir sur tes lauriers, mais tu dois te réveiller à la vie, au sentiment vrai, à la Condition de Dieu, à la mort, à la vie, au souvenir. Recommencer, c’est ma voie, c’est mon chemin qui s’éclaire dans le recommencement, dans la reconnaissance et dans la résurrection. As-tu pris conscience de cela ? Dis-moi, t’es-tu penché réellement sur le Moi profond de ta réalité pour reconnaître ce que tu es vraiment et ce que tu ne veux pas voir ? Il faut savoir se dénuder devant la Condition de Dieu. Apprendre à recommencer, se soumettre à son amour éternel et voyager dans le recommencement pour trouver, retrouver, le chemin de ma vérité. As-tu fait cela ? Es-tu prêt à le faire ?

Tu vois, ça ce sont de bonnes questions. Ce n’est pas la question de savoir si tu vas être riche ou pauvre, la vraie question est de te demander : qui suis-je ? Est-ce que j’ai compris la vie ? Suis-je passé par la soumission ou suis-je intolérant ?

Ton orgueil est si fort qu’il sent mauvais. Cherche à effacer tout cela et tu verras que Dieu ne t’a pas abandonné et qu’il serait fier et content de retrouver le chemin du linéaire parfait. Réfléchis, recommence, rééduque ton Esprit afin qu’il se tourne vers la vie et non vers la mort finale. Tu étais petit, tu es devenu grand. Tu es grand, tu ne retrouves pas le chemin de l’harmonie. Alors, tu t’éteins et tu voyages dans un monde d’incrédulité, de futilités, d’intérêts et là, es-tu heureux ? Es-tu heureux de posséder, d’être riche ? Es-tu heureux ? Car moi je vois que ta richesse est là, à l’intérieur et non à l’extérieur. Tu veux parader, montrer ce que tu es parmi tes frères, mais qui es-tu ? Un être vil, méchant, dirigé toujours vers de mauvaises actions pour terminer par la guerre. Tu es intéressé, profiteur. Est-ce que c’est cela la vie ?

La vérité de la vie, elle est en toi, cherche-là et accommode-toi à ce qui est pour pouvoir recommencer. Accepte ce qui t’est donné. Ne cherche plus à t’en détourner. Prends le chemin du linéaire parfait et tu verras que ta vie sera différente, que tu vas changer. Tu vas retrouver l’harmonie, la compassion, le don d’aimer, c’est là que tu vas entrer dans la disposition du Maître qui te conduit et qui te fera voir le bon ou le mauvais côté de la vie. Ainsi, tu pourras recommencer.

Dans le meilleur de ton cœur, je suis ton bonheur. Regarde, observe et mets de côté toute ta création qui n’est plus celle que je vous ai donnée. Allez vers la paix et communiez avec vos frères différemment que vous ne faites aujourd’hui. Montre l’exemple et l’exemple te sera donné. Montre l’amour et l’amour te sera donné. Partage, rassemble, aime tes frères, ainsi, tu pourras te reconnaître comme un Dieu évolué, marchant vers l’infinité des mondes.

Avec toutes mes bénédictions, je vous bénis mes chers enfants. Amour et paix.

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