Mère des mondes je suis, je vous le dis mes chers enfants, l’amour verra bientôt le chemin de l’amour du Verbe, le Verbe qui s’accomplit.
C’est pourquoi je dis que chaque jour une peine peut se montrer, mais en même temps une joie peut éclater. Écoute bien mon enfant. Sur le siège sur lequel tu t’assois il y a toujours une mémoire qui s’est posée. Dans cette réalité, tu es plongé dans les ténèbres de la pensée. Tu ne verras aucune lumière t‘approcher parce qu’il y aura trop de ténèbres, un brouillard épais de maladie. La lumière ne peut pas agir comme elle le voudrait et bien souvent cette conscience ne peut pas guérir tes plaies. Je te conseille donc de te mettre en rencontre avec l’univers de ma paix.
Oui, aujourd’hui mon nom est Marie et dans l’espace-temps je suis l’Esprit. Gardez bien en mémoire que je ne suis pas ce que vous croyez, mais un état don d’exception, exemplaire, où le pouvoir Saint peut se montrer sans difficulté.
Tu as donné à l’Esprit beaucoup de contrariétés et aujourd’hui tu dois te soumettre – et je dis bien, te soumettre – à une qualité supérieure de vie. Effectivement, ton offrande est si mince que je ne la ressens plus dans les veines où mon sang s’appauvrit. Regarde mon enfant, il y a plusieurs jours, j’ai donné à l’humanité un bouleversement qui, dans le caractère et l’aspect des sources d’énergies, peut témoigner d’un retour à la source ou exploser. C’est là le but final qui vous arrivera. Vous serez emportés dans un mouvement qui est celui du parallélépipède qui vous apportera la connaissance de l’instant présent, où vous-même serez complètement décontenancés devant cette vérité, cette vacuité. Alors, pour que cela soit dans la simplicité, essayez de rechercher toujours en vous l’amour et la paix. Pouvoir pardonner, c’est aussi consentir à l’avènement puissant que Jésus-Christ est ressuscité.
Tu es venu dans mon champ d’action. Tu as observé, mais tu n’as pas vu mon cœur Jésus. Alors, tu as tout écrasé. Tu as brûlé, tu as détruit et à ton avis, qu’as-tu détruis mon enfant ? Non seulement le cœur d’une Mère qui vous aime, mais aussi ta propre vie. Et cela il faut le comprendre. Réagissez à cette réalité et ne laissez pas tomber la vie. Résistez à l’agression, ayez de bonnes intentions et ne cherchez plus à juger. C’est une mémoire qui doit vous quitter, car nul n’est parfait dans la matière – en lumière oui, mais pas dans la matière. Et malheureusement, vous êtes très attachés à la matière. Alors, ne jugez pas, soyez vigilants, ayez du discernement et ne laissez pas mourir la vie en vous.
Ce que vous détruisez, à chaque fois vous détruisez une part de vous-même. Prenez conscience de cela, parce que si la vie vous quitte, je ne serais plus là non plus pour vous aimer, pour vous aider et vous apporter le meilleur pour votre cœur. Prenez conscience que chaque jour à sa peine, mais chaque jour à sa joie, car lorsqu’une porte se ferme, une autre s’ouvre mes enfants.
Soyez vigilants. Permettez à la vie de construire la vie et non de la détruire et permettez à mon sang de couler dans la rivière d’argent qui est ici et maintenant renouvelé pour la rencontre.
Apprenez à rencontrer, aimer, fusionner et cherchez toujours à pardonner, car c’est un point commun que vous avez tous, vous ne pardonnez pas. Pourquoi ? Vous croyez-vous plus élevés, plus dans la connaissance ? Mais non mon enfant. Tu n’es pas ce que tu crois être, tu es ce que je veux que tu sois, un Être d’exception et exemplaire. Alors, recommence et ne m’oublie pas. Je suis Marie votre Mère, Mère des mondes, Mère de la vie, Mère de l’amour et je vous bénis du centre de la Terre au centre de mon cœur. Soyez ce que je veux que vous soyez.
Bénédictions mes chers enfants, je vous aime tant. Amour et paix.