Le vivant est une correspondance avec mon sang.

Dans le cœur solaire, Je Suis.

Je suis le messager de l’Unité. Le vivant est une correspondance avec mon sang. Je suis le bouleversement de la Condition. Me voici arrivé sur Terre.

« Jésus-Christ » étant mon nom pour les hommes, je dis que Mère Solaire est la lumière qui m’éclaire. Dans les douleurs de la croix, je me suis soumis. Dans le vivant, je me suis posé dans la lumière du linéaire et c’est pourquoi je voudrais vous dire aujourd’hui que je n’ai plus, dans le minerai doré, la forme que vous souhaitez. Je suis seulement la volonté, la mémoire du souvenir. Je suis celui qui Est, je suis la mémoire du souvenir.

Dans ce perpétuel mouvement de bouleversements, de mutations, de conditions, je dis « je me nomme Dieu ». Il est intéressant de savoir que le pouvoir est érigé par l’explosion de la Sainteté qui va se manifester. Tout est prêt pour cela. Il y a donc une interprétation particulière que je vais émettre pour pouvoir toucher l’humanité. Je vous le dis, le souvenir est une rencontre qu’il ne faut jamais négliger, pour apprendre, pour expérimenter, pour exploser.

C’est ici maintenant en tant que missionnaire pour la Terre que je me meus en tant qu’Esprit dans l’unité de mon enfant. Oui, j’ai relevé beaucoup d’indices qui me permettent de dire aujourd’hui que je suis lumière. Et c’est dans cette réalité que je m’applique à vous donner de grandes leçons pour que l’explosion de la mémoire des mondes puisse s’effectuer au sein de votre Sacré et permettre une réalité exemplaire pour tous univers.

Tout ce que je veux t’apprendre est dans l’expérience du quotidien. Tout ce que je veux te donner est dans l’exemple du quotidien. Mais tu n’es toujours pas prêt à ouvrir les yeux, ni à ouvrir tes oreilles. C’est pourquoi ton monde est si désastreux. Il faut que tu comprennes que dans la loi de la conversion du souvenir, il y a toujours un état don qui se manifeste pour te démonter qui tu es, mais tu es toujours dans l’incessante destruction qui te met dans le mal-être de ma Condition.

Je vais donc me montrer tel je suis, pour que l’explosion du sentiment vrai puisse donner l’exemple de la paix. Je ne suis pas ce que tu crois que je suis, je suis simplement la lumière qui t’éclaire où le cœur de Mère, dans la présence de tout instant, te donne la capacité et la sagesse d’Être.

Le monde est ainsi fait. Vous l’avez créé de telle manière qu’aujourd’hui il se détruit lui-même. Alors, il faut apprendre à aller plus loin dans la recherche du Moi profond et reconnaître qui tu es dans l’honnêteté et la sincérité afin d’affronter toutes les Conditions de votre création. Car plus vous avancez dans l’évolution du souvenir, plus vous détruisez le souvenir, car vous n’avez pas compris – et je parle de l’ensemble des mondes – que nous sommes là, dans l’implosion, l’explosion, les rencontres et toutes les manifestations des moissons de l’origine jusqu’à maintenant. Vous refusez d’être ce que je veux que vous soyez. Alors, puisque tu es dans la paralysie du moment présent, je te dis : « recommence, recommence ».

C’est la mort qui va te conduire à te reconnaître tel que tu es. Et c’est la mort aussi qui te soumet aux expériences de la vacuité. Ne la repousse pas comme tu le fais. Prends conscience que tout est en toi et qu’il n’y a aucune séparation entre la mort et la vie, il n’y a qu’une explosion qui te permet d’être différent, c’est tout. Et dans cette différence, tout recommence.

C’est la majestueuse énergie de la vie qui, au fond de toi, vibre malgré les obstacles qu’elle peut rencontrer et qui te permet de voir l’ultime Sacré qui est ici et maintenant bouleversé. Apprends à reconnaître l’exemple en toi et autour de toi. Ne laisse rien passer, observe, observe et dans ton implosion recommence pour être différent. Dans la certitude d’être, dans l’implosion du sentiment vrai, je dis, que le souvenir soit ici maintenant couvert de plaies et pour les soigner tu dois recommencer, car tu as laissé la crucifixion prendre le dessus et tu idolâtres la crucifixion. Crois-tu que ce soit une nécessité, encore, après plus de deux mille ans ?

La crucifixion a été un passage de l’homme Jésus qui lui, s’est sacrifié dans l’amour, le pardon, pour que le souvenir s’efface doucement. Le souvenir de la croix n’a plus lieu d’être. C’est l’attraction entre le souvenir solaire et le souvenir de la matière qui te permet d’être ce que tu es et ce mouvement nous l’appelons « linéaire ». Et si ce linéaire est dégagé de toutes impuretés et de pensées négatives à la vie, alors, ce linéaire éclairé t’apportera beaucoup plus de conscience et de connaissance de l’amour des mémoires.

Voilà pourquoi aujourd’hui, dans ce mouvement perpétuel de l’évolution, je dis que je vais me montrer dans le souvenir comme un implant du souvenir.

Prends ta canne et marche la tête haute vers la vie, en la contemplant, en l’aimant et en la rencontrant, en commençant par toi-même.

Je te remercie de te pencher sur cette réflexion, car aujourd’hui cela devient une nécessité mariale, afin que tu retrouves un équilibre différent. Où est ton équilibre aujourd’hui ? Tout est parti, plus rien n’existe et vous vivez comme des animaux perturbés. Il serait bon d’en prendre conscience et de corriger. Voilà ce que je voulais vous dire aujourd’hui. Prenez un peu de temps pour vous rencontrer, car votre monde décline et cela me fait beaucoup de peine, parce que je ne peux pas corriger si vous ne voulez pas corriger.

Voilà mon sermon terminé. Avec mes bénédictions, je souhaite vraiment de grandes remises en question pour l’humanité.

Amour et paix

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