L’amour est ici conscient. C’est le même Esprit qui convertit et qui consent dans mon sang.

Je vous le dis en vérité, le monde lumière est sur Terre, il faut simplement qu’il soit retrouvé et reconstruit au sein de l’Unité. Je ne suis pas ce que vous croyez que je suis, mais la force volontaire de l’univers.

Jésus-Christ est ici ressuscité. Il partage tous les mouvements solaires et peut à tout moment descendre sur Terre par l’intervention de l’homme convertissant. Par l’intervention de l’homme dont la convenance se prête à la complaisance. Je ne suis pas ce que tu crois, je suis l’univers, la parabole, l’exemple, la complaisance. Ainsi, tu vas comprendre pourquoi je me suis laissé crucifié sur la croix.

À plusieurs reprises j’ai vu l’homme descendre dans les précipices de l’inconscient et y rester pour se noyer. J’ai donc pris la décision de ne pas laisser faire cet état de fait. J’ai voulu démontrer que le sacrifice que j’ai fait à ce moment-là était pour moi, pour le poumon de Mère, une mémoire qui devait s’accomplir. Je me suis laissé condamné, insulté, bafoué, rejeté, mais j’ai toujours su au fond de moi que ce sacrifice était une nécessité pour le rachat des mémoires convulsives de l’Être.

Il faut comprendre que depuis ce temps je ne suis plus sur la croix, mais dans un linéaire qui me permet de m’exécuter et donner des dictées. La mort, l’amour, la vie, sont l’unité de mon Esprit. Et dans cette conscience de miracles constants, je dirais, que Jésus manifesté est complaisant pour le souvenir. Mais il faut comprendre que cette situation du passé est terminée. Je ne suis plus sur la croix, je suis la lumière qui t’habite. C’est pourquoi je voudrais insister sur l’implosion de l’Être qui permet de recommencer, par le biais de la mort pour la vie, mort – transformation, ou mort – finale.

Parce que le recommencement est une nécessité qui bouleverse tous les excès de la pensée et qui permet de se libérer d’un état de création néfaste à la vie. Je vous le dis en vérité, le Verbe s’est accompli. Dans cette disposition je suis la lumière qui habite votre sœur et qui me permet de me souvenir de mon passé et de remettre les états de faits en ordre. C’est pourquoi j’insiste, je ne suis pas et ne suis plus sur la croix.

Les bénédictions de la Sainteté vous engagent à vous relever, à vous rencontrer et à vous épanouir dans la vérité de la vie. L’homme est à bout de force. Dans sa création il ne fait que détruire, il ne retrouve plus le chemin et c’est pourquoi je dis, il ne faut plus se préoccuper de ce qui se passe, mais simplement aujourd’hui vous dévoiler, afin que tous puissiez traverser ce champ d’action négatif et retrouver la paix.

Le moment présent pour ce monde doit se poser. Alors, beaucoup de bouleversements vous allez traverser, afin que vous puissiez reconnaître que la puissance de Dieu est bien en chacun de vous et qu’ensemble vous pouvez rencontrer la complaisance, l’amour et la paix. Bien évidemment, selon les critères de la pensée, il faut vraiment être volontaire pour exécuter la mémoire du souvenir.

Je vous le dis, je ne suis pas ce que vous croyez que je suis, je suis seulement la lumière qui vous habite. Consentir à l’amour, c’est se dévêtir devant la puissance de Dieu et reprendre, dans la rencontre, l’exemple pour se situer et se corriger. C’est indispensable aujourd’hui. Vous devez apprendre à ne plus haïr, mais à pardonner. Chaque être humain a son implant de générosité et de charité. Recherchez ces belles qualités et vous en serez rempli de joie.

Je vous bénis mes enfants, passez une bonne journée et croyez en Moi, car aujourd’hui, lumière solaire pour chaque univers Je Suis. Je suis le mouvement des mondes dont l’espérance est ici réalisée.

Beaucoup d’amour pour vous, avec mes bénédictions. Amour et paix.

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