Une mère et son enfant sont en fusion dans la majestueuse énergie de la vie.

C’est une réalité à ne pas oublier. Pardonner à ceux qui n’ont pas été sur le droit chemin, est le merveilleux de Dieu – à méditer.

Beaucoup d’hommes et de femmes ne pardonnent pas et ne se pardonnent pas, ne trouvent pas le chemin de la gloire de Dieu, car ils sont tourmentés, en colère et la malédiction tombe sur ces êtres-là. C’est pourquoi beaucoup d’entre-eux peuvent se dire qu’ils n’ont pas de chance, mais la chance, qu’est-ce que la chance ? Si tu n’es pas sur le droit chemin, il n’y a rien qui peut se passer dans tes désirs et tes demandes. Il faut donc faire l’effort de se nettoyer, de pardonner et d’acquiescer vers le juste et non pas vers le mauvais, car tu sais ce qui est mauvais au fond de toi, mais tu ne veux pas le regarder. Alors, penche-toi sur tes pieds et regarde. As-tu les pieds palmés ou des pieds de lumière ? Quand mettras-tu tes chaussons de lumière pour visiter mon univers ? Tu es complètement adombré par la misère de ta création.

C’est pourquoi je voudrais te parler de l’amour, de la mort, de la vie. Tu n’as pas encore compris que c’est mon Esprit. Tu me cherches dans les statues, dans les endroits énergétiques, mais tu cherches quoi ? Tu cherches qui ? À qui veux-tu faire croire que tu parles à mon sang si tu n’es pas sur le chemin ? Tu dois t’enquérir à vivre différemment, à te nourrir différemment et à comprendre que le vivant est en toi. Tous les vivants sont là. Si tu ne les respectes pas, tu ne ressentiras jamais la gloire de Dieu.

Alors écoute. Sur le chemin que je veux te montrer, il y aura beaucoup de bouleversements, c’est un fait. C’est la mémoire des mondes qui agit, réagit, selon la condition du moment, mais tu dois comprendre que toi-même est une source d’énergie exemplaire dans la maturité, le juste, la bonté, la charité, la générosité, mais tu es souvent soumis à des desseins qui ne sont pas justes.

Tu donnes ; tu te glorifies. Tu donnes ; tu attends de la reconnaissance. Tu transmets et tu veux faire croire que tu sais. Qui es-tu donc ? Si tu es sur la voie, sur le chemin, tu seras écouté et tu remplieras le cœur de Mère de joie, en donnant naturellement sans rechercher la gloire. Si tu recherches la gloire, ce n’est pas du don et ça ne fait pas plaisir à Mère. Si tu donnes en te glorifiant en disant « moi, j’ai donné » qu’as-tu donné en finalité ? Tu portes du matériel qui ne te sert plus, que tu n’as plus envie de voir ou de mettre et tu es content avec cela. Est-ce cela l’amour ? Est-ce cela le port du don ? Je ne t’ai jamais guidé vers ces manifestations, c’est toi qui as pris ce chemin. L’amour, la mort, la vie, le pardon, le respect, tout cela est en chacun, il suffit de le découvrir. Cherche un peu plus loin que le bout de ton nez et appliques, selon la loi de Dieu et non seulement avec la loi des hommes.

Je t’ai vu assis sur un banc. Tu voyageais dans mon monde, puis un jour, fatigué, tu t’en es détourné – pour maintes raisons évidemment, tu en trouveras toujours. Pourquoi t’es-tu détourné de moi ? T’ai-je compliqué la vie ? Ne t’ai-je pas donné ce qui te manquait ? Qui es-tu donc maintenant ? Ce monde que tu as créé est un monde de difficultés où l’offrande des mondes disparaît. Tu veux vivre l’amour, tu veux vivre la joie, mais toi, qu’attends-tu de moi en étant sur le chemin de la mort et non de la vie ? Qu’attends-tu de moi ? Je suis là pour te montrer le chemin, mais tu t’en détournes constamment. Tu n’as pas compris que la mort est la plus grande des œuvres de Dieu, afin que tu puisses recommencer. Ré-attribut au juste de ton linéaire l’acceptation de la mort, de la transformation, pour pouvoir aller plus loin que tu ne l’es aujourd’hui.

Tu as peur du lendemain, tu te compliques dans le passé et dans l’instant présent, où es-tu ? Où es-tu ? Tu l’as complètement oublié. Tu juges et tu ne sais pas. Tu pleures parfois, sur qui sur quoi si ce n’est sur toi ? As-tu une larme pour les souffrants ? As-tu une larme pour les malheureux ? Regarde-toi tel que tu es. Si t ne veux pas changer et rester dans ta création, tu sais ce qui va t’arriver. Essaie au moins avant de renoncer. C’est cela la vacuité. Voir plus loin que le bout de son nez, se corriger, se respecter et trouver dans l’autre le même Esprit. Tu comprends ? Retrouvez dans l’autre le même Esprit d’amour, d’Unité. Pourquoi es-tu sur la Terre si ce n’est pour te transformer au gré des expériences et des leçons données ? Prends-tu conscience de ce que tu es ?

Jamais un homme ne m’a regardé en me disant « Maître, je suis ton Esprit et je partage avec toi douleurs, peines et joies ». Une personne me l’a dit, une femme et c’est pour cela que je l’ai adombré de mon amour et de mon Esprit. Elle n’a pas eu peur d’affronter les difficultés, mais toi, que penses-tu de cela ? Et ne me dis pas que tu n’as pas peur, tu ne vis qu’au travers de cela. Alors je te le dis, peines, tourments et joies sont en toi, à toi de prendre la direction qui te plaira et ainsi tout sera exécuté, car ce n’est pas moi qui décide. C’est toi. C’est toi qui décides. As-tu bien compris ? C’est toi qui décides. Je meurs, Je Suis. Je meurs, je grandis. Je meurs, j’évolue vers la vie. Mais pour cela, il ne faut pas avoir peur de mourir, c’est-à-dire laisser-là le vieil habit pour remettre un habit tout doré, d’or et d’argent, afin que tu sois libéré de cette création qui te ronge constamment.

Les guerres, les mauvais côtés de la pensée, les jugements… l’iris solaire est fatigué. Il vous éclaire, il vous guide, il vous dicte le chemin, mais l’humanité est dure, très dure pour se transformer. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a plus de volonté de recherche sur soi. On s’arrange comme on peut on profite de ce qu’on a créé, mais en réalité, es-tu heureux ? As-tu le bonheur dans le cœur ? Regarde-toi. Moi, ce que je vois c’est violences, guerres, désirs, la gloire que tu peux porter à ton égard. C’est ce que je vois. Je ne vois pas de l’amour, de la fidélité, de la charité, de la vraie générosité, je ne vois pas cela.

Il faut vraiment que tu prennes le temps de t’observer. Si tu ne le fais pas, ce ne sera plus la peine de me prier, car je ne pourrais plus rien faire pour toi, tu n’auras pas ouvert la porte du Ciel et tu n’auras jamais voulu que je t’aime. Alors ainsi, nous allons dévoiler notre enfant à l’humanité. Très rapidement vous verrez ce qui va se passer, car mon enfant va vous le montrer. Oui, le Père Saint a pris possession de son amour et de son implant et aujourd’hui il dirige la vie de son enfant vers le Verbe qui s’accomplit. Croyez en ce que je dis « nul ne peut paraître ce qu’il veut être ». Comprends-tu le sens de ma phrase ? Si tu n’es pas dans le sentiment de la rencontre, de l’appel à la résurrection, au changement, à l’immortalité du verbe aimer, je dis que je ne pourrais rien pour toi.

Atteindre les degrés puissants de la spiritualité, c’est se soumettre entièrement à l’instant présent et donner son amour aux souffrants, aux désespérés, à ceux qui veulent mais qui n’y arrivent pas. Et moi, je suis là pour cela. En tant qu’Esprit de Jésus-Christ, je vous le dis, je vous transmets l’amour nécessaire pour sauver votre univers. Faites ce qui est demandé et je vous adombrerais de l’amour de notre Père, l’amour des mondes infinis et puissants.

Bénédictions mes enfants, nous vous aimons.

Amour et paix.

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